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Les Nouveaux Voisins Noir Ch. 01

Asian

Cette histoire débute durant l’été 2015 à Montréal, Jessica une femme blanche étudiante de 21 ans cheveux noir 5’6 corps d’athlète sans être musclé était de retour à la maison de ses parents. Son père avait décédé en 2010 laissant sa mère Nancy seul avec ses deux filles. Nancy femme blanche de 39 ans mère de Jessica lui ressemblais beaucoup en version plus vieille. Elle avait de long cheveux noir moins entretenue que celle de sa fille Jessica elle était enrobée quelque peu du haut de ses 5’3 mais elle avait encore un derrière qui fessais tourner du regard bien des hommes. Nancy avais pris très dur la mort de son mari au combat dans l’armée canadienne elle était resté seul et ne désirais plus rencontrer personne. Sa vie reposait dorénavant sur ses enfants. Elle leur consacrait toute son énergie. Audrey l’autre fille de Nancy elle aussi blanche avais 19 ans, elle était bronzé cheveux blond une vrai princesse plutôt mince et non musclé.

Jessica étais au cégep tandis que sa sœur Audrey avais eu beaucoup de misère dans ses études avec la mort de son père et avais coulé quelque année mais elle avait maintenant de bien meilleur note dans une classe spécialisée. Son anglais était du niveau 5ieme secondaire, ses math 4ieme, son français 3ieme. Audrey avais des amis beaucoup plus jeune qu’elle dû son retard, elle n’appréciait pas vraiment trainer avec plus jeune qu’elle.

Jessica : A-llooo

Nancy : Allo Jess’!

Jessica : Audrey n’est pas la?

Nancy : Non, elle travaille au Mcdo.

Jessica : Ah ouais j’avais oublié et puis tu as rencontré nos nouveaux voisins?

Nancy : Non Jessica, tu sais on était proches de Jean et Lana mais les gens n’ont pas de relation amical avec leur voisin habituellement comme on en avait.

Jessica : Je sais maman, c’est simplement parce que je trouve que tu rencontres personne depuis… depuis… la mort de papa je ne veux pas que tu sois seul sans contact extérieur.

Nancy : Ma belle jessica, tu sais comment que je t’aime? Je vous ai vous mes deux filles adoré et je n’ai pas besoin d’avoir des amies.

Nancy et Jessica ce fit un câlin puis un bruit de moteur ce fit entendre, les deux femmes regardais par la vitre de manière prudente afin d’espionner leur nouveau voisin qui venais de ce ranger dans leur entrée dans une belle Porsche 918 spyder, c’était très bizarre de voir une voiture de cette qualité dans un quartier au revenue très moyen. Une femme noir qui devais avoir environ l’âge de Nancy ressortie portant des vêtements fessant ressortir son gros derrière, étais avais toutefois une shape assez athlétique. Une autre portière s’ouvrit et une autre femme noir en sortie, plus jeune celle-ci mais ronde et devais avoir aux alentours de 24 ans qui portais une accoutrement ressemblant à celle d’une prostitué. Les deux femmes noir entra dans leur maison et Jessica regardais sa mère l’air surprise de voir leur nouveau voisin.

Pendant ce temps au Mcdonald, Audrey travaillais comme caissière elle était en plein rush quand soudainement une femme noir excessivement musclé du haut de ses 5’10 aux alentours de 21 ans s’approcha de Audrey.

Audrey : Est-ce que je peux prendre votre commande? *Sourie*

Tanisha : Je suis Tanisha, j’ai un CV, Je le donne à qui?

Tanisha étais très direct et étais la fille de sa nouvelle voisine.

Audrey : Oh, donne-le moi je vais le donner au gérant.

Tanisha : NON! Ce n’est pas comme ça que je veux que ça se passe. je veux le voir personnellement.

Tanisha regardais Audrey avec un visage très dur très sévère, Audrey étais intimidé par Tanisha.

Audrey : Je suis désolé il n’est pas ici présentement. Tu veux son numéro de téléphone?

Tanisha : Je prendrais plutôt son adresse.

Audrey : Je ne sais pas où il habite désolé

Tanisha : Aaaah! Laisse faire! Je vais m’arranger. Bye… Comment tu t’appelles?

Audrey : Audrey.. bye.. tanisha

Tanisha : BYE AUDREY! On se reverra bientôt!

Tanisha partie laissant entrevoir un sourire en coin à Audrey ce qui la calma totalement elle ce sentais maintenant plutôt rassuré que Tanisha partais avec un sourire en coin elle qui croyais l’avoir froissée sans aucune raison. Audrey fini son shift, retourna à la maison fit ses devoirs et partie ce couché ce soir-là avec qu’à la tête l’attitude de Tanisha. Elle était la femme la plus musclé qu’elle avait vu de sa vie et elle avait une attitude ultra-dominante.

Le lendemain matin, tous assied alentour de la table en train de prendre un déjeuner les Bernier ce parlais entre eux quand soudainement on toqua à la porte, Nancy ce leva en se demandant qui peut bien toquer à la porte tôt ce matin ce n’étais pas vraiment coutumes et Nancy étais encore dans sa robe de chambre sans maquillage contrairement à ses filles déjà prête pour leur journée d’école. Nancy demanda à une des filles de répondre, Audrey ce leva contourna le mur et descendit dans les marches pour répondre à la porte. C’était leurs nouveaux voisins. Il y avait Tanisha à droite regardant Audrey en affichant encore plus son sourire en coin, la mère de Tanisha et son Escort Esenyurt autre fille. La Mère avait une tarte dans ses mains.

Rosey : Salu’t! My… Mon nommm est Rosey je suis nouvelle voisine! Tarte! Pour vous!

Tanisha : Look at that Mom! Je connais déjà une de nos voisines Audrey!

Audrey regardais Tanisha encore un peu intimidé qui lui parlais dans un français parfais sans accent tandis que sa mère Rosey avais de la misère à parler français. Nancy et Jessica partie voir qui étaient à la porte eux qui attendirent la discussion de la table.

Audrey : Euh! Bonjour! Salut, Tanisha!

Nancy : Bienvenue dans le voisinage, je vous présente ma fille Jessica et celle qui vous a répondu c’est Audrey. Désolé je n’ai pas eu le temps de me réveiller he he he! J’ai besoin de temps le matin pour me réveiller!

Rosey : No problem, ma fille Tanisha et ma plus.. ma plus.. old one Bethy!

Bethy : Salut!!

Nancy : Ravis de faire votre connaissance, merci pour la tarte mais vous n’étiez pas obligé c’est beaucoup trop.

Rosey : It’s nothing! Contente! Bonne tarte pomme! Bye!

Bethy : Pas de câlin? On est amis maintenant?

Audrey : Euh..

Rosey : Non Bethy!

Tanisha : HA HA GROSSE FOLLE Bethy! Désolé BETHY est du GENRE TROP AMICAL avec tout le monde.

Bethy : Je n’aime pas m’entraîner! Je fais ce que je veux Tanisha.

Rosey : ENOUGH Girls, je suis désole. Vraiment desole. Tanisha : DÉSOLÉ! Pas désole…

Rosey : Ok let’s go girls.

Nancy : Bye.

Les Stevenson retourna à leur nouvelle maison, Audrey regardais encore Tanisha l’air vraiment intimidé par elle et l’idée de travailler avec elle semblait vraiment la perturber elle espérait presque qu’elle n’obtienne pas l’emploie pour lui éviter de devoir travailler autant pour ne pas lui déplaire et subir sa foudre. Les Berniers ce rassie à la table, Nancy pris un couteau et découpa la tarte en 6 morceaux. Elle en donnant à chacune de ses filles puis une à elle.

Nancy : Tu connaissais Tanisha, Audrey?

Audrey : Ouais, elle est venue porter un CV hier au Mcdo.

Nancy : Fais attention Audrey, je n’aime trop l’attitude de Tanisha. Reste poli avec elle je ne voudrais pas trop d’embrouille avec eux mais.. garde tes distances..

Jessica : Maman, tu as peur de tout mais ils sont probablement tous bien et gentil. Tanisha a un caractère fort mais elle doit être épuisée a levé tout ses altère donc elle doit être un peu plus colérique c’est tout. T’en fais pas Audrey. Reste toi-même.

Audrey : Je.. ouais… merci…

Les Bernier commença à manger la tarte après quelque bouché Audrey trouva un poil noir frisé dans sa tarte, Nancy aussi.

Audrey : Eurk, un poil..

Nancy : Ils n’ont pas mis grand sucre, on ressent encore l’acidité forte de la pomme.

Jessica : C’est l’intention qui compte, ce n’est pas la fin du monde quelque poil dans une tarte. Les africaines ont beaucoup de cheveux frisé sur la tête. C’est sûrement pas évident.

Nancy : Une sauce aussi acide, pas très bonne cuisinière la mère!

Jessica : Maman… tu ne te feras pas d’amis ainsi..

Nancy : Elle n’est pas là pour entendre et je ne veux pas d’ami!

Jessica : Bon moi je vais à l’école, je vais aller porter Audrey mais essaie d’être plus ouverte et ce sont des gens d’une autre culture ne l’oublie pas.

Nancy : Je suis ta mère Jessica, inquiète toi pas! Je ne suis jamais déplacé!

Jessica et Audrey partie pour l’école tandis que Nancy décida de jeter les restes de la tarte à la poubelle et nettoya le contenant à gâteau. Nancy sauta sur son tapis roulant pour faire son 30 minute de jogging quotidien elle qui entretenais quand même sa forme sans être maladive car elle avait quelque courbes mais un petit derrière encore très « tight ». Dans l’après-midi elle profitait de la journée ensoleillée pour ce bronzé vêtu d’un maillot de bain one piece. On entendait les oiseaux criée, Nancy avais les yeux fermé près de s’endormir quand tout à coups elle entendit une voix près d’elle, elle se retourna vers celle-ci et c’était Bethy, la fille de Rosey âgé de 25 ans assez ronde.

Bethy : Tu as aimé ma tarte?

Nancy : Oh, eh c’est toi qui la fais? Oui, nous l’avons aimé merci encore!

Bethy : Je prends des cours de cuisine. Je pourrais avoir mon contenant à gâteau je ne veux pas ressortir en acheter un autre.

Nancy : Euh oui évidemment! Attend je t’apporte sa!

Nancy ce leva, Bethy la suivie et l’attendis à la porte. Elle voyait les muscles fessier de Nancy forcé après chaque marche qu’elle montait pour ce rendre jusqu’à la cuisine. Bethy ce mordillais la lèvre. Quand à Nancy elle trouvait bizarre l’attitude de Bethy de venir immédiatement chercher son contenant à gâteau. Nancy le pris et l’amenant à Bethy.

Nancy : Voila! Merci Encore!

Bethy :Gros calin mon ami!

Nancy : Ok..

Bethy et Nancy ce fit un gros calin, Nancy étais plutôt timide mais Bethy la serra très très fort et délicatement laissais descendre ses mains jusqu’au fesses pratiquement Esenyurt Escort Bayan dénudé de Nancy. Elle sentais les fesses chaudes de Nancy entre ses mains, Nancy étais mal à l’aise.. Bethy fit glisser quelque un de ses doigts sous le maillot de Nancy qui la repoussa immédiatement. Nancy ne savais trop quoi dire, elle était sous le choc des gestes de Bethy qui s’approcha d’elle de nouveau et l’embrassa sur un coté des joues puis l’autre atterrie sur le coin de la Bouche de Nancy et bethy fit un bec mouillée. Bethy partie ensuite lui fesant salut de la main sous une Nancy complètement choquée mais surtout sonné!

Nancy : Oh… mon… dieu!

Nancy encore planté devant l’entrée de sa porte vu maintenant arriver la mère de Bethy tout énervé, la porte étais entre ouverte donc Rosey entra et pris aussitôt parole devant une Nancy presque horrifié.

Rosey : Désole! Je veux dire désolé! J’ai vu trop tard ce qui est arrivé. My daughter, uuhhh.. Elle a un problem! Elle fais sa à tout le monde! c’est pour cela que j’ai dit non ce matin! Elle n’est pas retarded officiellement mais je crois qu’elle est incapable ses agissements je vais dire dorénavant Bethy ne va pas chez voisine blanche! Vous avez bien fais de pas parler fort et contre Bethy elle pauvre enfant retardé devenir excessivement violente quand elle n’est pas contente. Tanisha capable de contenir et moi être mère mais autre personne non! Moi j’être en charge de Becky, elle pas travailler rien faire. Cours de cuisine chez nous elle est PROUD de sa… désolé encore!

Nancy : Non non, c’est correct.. je suis surtout surprise mais en sachant que ses intentions n’étais pas ceux que je pense c’est moin grave et elle n’a pas toute sa tête. Tu es une très bonne mère pour elle, je n’imagine pas comment sa dois être dur d’élever un enfant qui n’a pas toute sa tête.

Rosey : Elle n’est plus vraiment Kids at 25 years but always a kids for us right. Elle avait tête avant que son dads meurt, poor baby… elle perdu tête complètement après mort de son papa. Maintenant elle est plus capable de think normalement.

Nancy : Wow.. la même chose nous est arrivé mon mari est mort au combat il y a 5 ans.

Rosey : Good god! Is it destiny? Destin rapproché nous pour venir aider peut-être? Tu veux venir prendre café ce soir à la maison?

Nancy : Je ne sais pas trop si… Ouais! Je vais venir! Merci et bye Rosey!

Nancy ne voulais pas y aller, encore une fois trop craintive surtout face à ce qui venais d’arriver mais elle pensait au parole de Jessica et décide de ne plus craindre tout les opportunités qui ce présentais à elle. Rosey avais vécu le même drame qu’elle après tout.

Après l’école, Jessica et Audrey vois leur mère leur raconter tout ce qui s’est passé cette après-midi. Elle leur dit que Bethy est un peu retardé depuis la mort de son père et qu’elle devient excessivement violente quand elle est confrontée par quelqu’un d’autre que sa famille. Jessica est ravis que sa mère passent du temps avec Rosey ce soir, Audrey attrape un morceau mange et va se coucher pour être en forme pour travailler au Mcdo ce soir quand à Jessica elle ne rentrera pas coucher ce soir car elle étudie chez son petit ami ce soir et dormiras là-bas.

Le soir venue, Nancy dis salut à Audrey qui part bientôt travailler. Jessica est déjà chez son petit ami, Nancy est habillé de façon tout de même léger vu la chaleur extérieur mais tout de même de façon convenable. Rosey lui ouvre la porte habillé de façon sexy. Nancy s’assied à la table, Rosey lui verse un café après une légère accolade.

Rosey : Ma grande fille dort déjà dans sa chambre, 8 heure du soir c’est assez pour elle. T’inquiète!

Nancy : Oh, c’est correct je ne suis pas inquiète.

Rosey : Je suis vraiment sorry, depuis la mort de mon mari mes deux filles ont pris de drôle de direction. Tanisha est sévère et a sauté les deux pieds dans l’entraînement musculaire and the others is like a zombie… Bethy étais pas comme ça. Now je sais plus quoi faire, Tanisha est capable d’agir en public mais Bethy is a trainwreck.

Nancy : C’est dur, je compatie avec toi ma Jessica est devenue plus autoritaire.. plus protectrice.. tandis que ma petite Audrey est fragile comme tout.

Rosey : Tu as deux beautiful and great kids Nancy! Ils écoutent.. mine don’t listen except Bethy but just to me.

Nancy : Je suis la si tu as besoin d’aide. Perdre un mari n’est vraiment pas facile et tu es la première personne que je rencontre vraiment depuis la mort de mon mari.

Rosey : Wow… That’s huge. J’apprécie vraiment la confiance. Je..

Le téléphone ce mis à sonner, Rosey répondu. Elle semblais quelque peu paniquée au téléphone elle ferme la cellulaire et pris parole l’air pressée.

Rosey : Oh non! Désolé Nancy! Je dois y aller! C’est l’hôpital, ma mère est à l’hôpital et besoin de moi tout de suite! Désolé encore nancy mais peux-tu rester maison surveillé Bethy jusqu’à temps que Tanisha comeback… Bethy pourrais s’enfuir. Comme j’ai dit she’s a trainwreck. Elle dors et ne devrais pas Esenyurt Escort ce réveiller but if she does… just don’t provoke her… joue le jeux de ce qu’elle veut si elle veut écouter TV ouvre TV PAS GRAVE ok?

Nancy : Euh… Tanisha revient bientôt je ne suis pas vraiment à l’aise?

Rosey : Je ne sais pas trois heure ou deux? She’s working..

Nancy : Tu pourrais peut-être l’appeler pour..

Rosey : I’m sorry, je ne sais pas où elle work et she hate cellphone… i’m really desolée Nancy!

Nancy : c’est correct, va voir ta mère. Bonne chance.

Rosey : Merci.

Rosey pris son auto et accéléra rapidement ce qui fit beaucoup de bruit, Nancy étais inquiet. Elle n’avait pas apprécié ce que lui avais fait Bethy cette après-midi et ne voulais pas qu’elle se réveille. Elle ce demandais à quelque point pouvais-t-elle devenir extrêmement violente lorsque confronté ou contrarié. Soudainement, quelque minute après que l’auto de Rosey décolla on entendit quelque bruit de pieds et Bethy crié le nom de Rosey… Bethy marcha jusqu’au Salon ou elle ne vu que Nancy.

Bethy : Ooooh! Salut Nancy! Tu voulais un autre calin?

Nancy : Oh, salut Bethy non tu peux aller te recouché j’étais en train de parler à ta mère quand celle-ci a dû partir elle va revenir d’ici peu… en attendant je suis ici à l’attendre.

Bethy : … Je vais aller au toilette.

Bethy ouvris la porte et laissa celle-ci entrouverte. On pouvait nettement la voir enlever son pyjama, Nancy ne regardais pas mais semblais ne pas apprécié ce qui ce déroulais. Bethy pissais très fort. Le jet était puissant. Nancy regardais au plafond l’air de ce demander dans quel merdier elle s’était mise. Soudainement, on n’entendit plus rien. Bethy sortis sans flushé ni ce lavé les mains. Bethy étais toute nue devant Nancy, elle n’avait pas remis son pyjama.

Bethy : Nancy…

Nancy : Oui Bethy?

Bethy : J’ai aimé notre câlin cette après-midi. Regarde-moi Nancy… je te parle…

Nancy regarda Bethy, 5’1 près de 175 lbs elle était nue devant Nancy très poilue du vagin. Nancy sentais l’odeur infecte que Bethy dégageais elle qui ne semblais pas très propre de sa personne. Bethy laissa glissée deux doigts dans sa chatte poilue. Elle les inséras dans sa chatte et commença à ce masturbé nu devant Nancy qui regardais le tout l’air hautement mal à l’aise. Bethy s’approcha de Nancy lui montrant ses deux doigt avec lesquels elle s’était doigtée.

Bethy : Met les dans ta bouche Nancy.

Nancy : Non, merci mais non merci..

Bethy : J’AI DIS DANS LA BOUCHE NANCY!

Bethy pris le cou de Nancy avec sa main gauche et inséra ses deux doigts dans la bouche de Nancy qui avais le goût de vomir, le jus de chatte de Bethy mélangé avec celle de sa pisse n’étais vraiment aucunement agréable. Nancy enleva les doigts de Bethy de sa bouche et pris parole ce leva.

Nancy : Je dois m’en aller.. tu diras à Tanisha ou ta mère que j’ai eu un urgence.

Bethy : Reste assied et avale ce que je te donne.

Bethy contrôlais Nancy qui ne pouvais plus bouger, elle lui donna une gifle au visage ce qui rendit Nancy plus obéissable. Bethy s’approcha de Nancy et lui donne un long baisée avec la langue, Nancy sentais l’odeur nauséabonde qui sortais de la bouche de Bethy et n’en pouvais plus. Bethy ouvris la bouche de Nancy et décida de lui cracher dans la bouche.

Bethy : Avale chienne blanche!

Nancy avala et voyais Bethy sourire tout heureuse comme une petite enfant surexcité. Nancy n’en revenais pas du traitement que Bethy lui fessais subir. Pendant ce temps, Audrey étais au Mcdo. Elle trouvait qu’il avait moins d’employé qu’à l’habitude. Audrey prenais les commandes mais les clients étais mécontent du long service. Tanisha arriva en arrière et surpris Audrey. Tanisha étais habillé en gérante. Tanisha donna une violente tappe sur les petites fesses d’audrey tout en empoignant ses fesses la fessa presque lever du sol puis pris parole.

Audrey : Aie!

Tanisha : AUDREY! Je suis vraiment heureuse de te voir. J’aimerais tout d’abord te dire que tu gardes ton emploie. J’ai mis pratiquement tout le monde dehors car il était incapable de travailler convenablement mais toi Audrey tu seras mon employé favoris j’en suis convaincue.

Audrey : Euh merci… tu montes les échelons rapidement… est-ce que d’autre gens arrivent travailler les clients se plaignent du service?

Tanisha : Pas aujourd’hui… elles ne sont pas prêtes encore. Probablement demain. Le gérant a démissionné à ma donner son poste. Il a aimé mon CV et étais irrité par l’attitude de certain ici.

Audrey : Wow… ok…

Tanisha : Je ne veux pas d’homme ici tout ce qu’il font c’est reluquée ton petit cul de blanche. TU NE VOUDRAIS QUAND MÊME PAS Perdre ton temps à leur sucer leur queux?

Audrey : Euh… Non tanisha…

Tanisha : Bon, je m’en retourne au bureau occupe-toi de ses avortons.

Tanisha donne une autre tape violente sur l’autre fesse d’Audrey, les clients regardent la scène de façon bizarre. Audrey sourie timidement tandis que Tanisha repart dans son bureau. 3 Heure plus tard Audrey attend que sa mère arrive mais elle est incapable de la rejoindre, Tanisha sort et offre de raccompagner Audrey chez eux. Pendant ce temps à la maison des Stevenson, Bethy regarde la TV encore complètement nue couché de coté, Nancy est assied par terre au pied de Bethy.

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Manipulé(e)

Blowjob

Nous sommes invités ce soir là par une connaissance à une soirée de charité dans un hôtel chic, ma femme Marie est superbe dans sa robe de soirée, j’ai mis mon costume. Il y a un orchestre, où je reconnais un ami d’école Lucien avec qui j’ai fait médecine, moi je suis devenu médecin lui est devenu pianiste, je lui donne ma carte de visite et lui fait promettre de m’appeler rapidement.

Il y a du champagne à profusion servit sur plateau par des serveurs qui déambulent parmi nous. Lorsque je regagne la salle du bal, Marie est dans les bras d’un grand et chic type d’une soixantaine d’années environ, il l’a fait danser langoureusement, son entrejambe contre le sien, sa bouche proche de la sienne. La musique s’arrête , elle fini par se détacher de lui .

Les jours suivants, se déroulent normalement ,je me lève tôt, très occupé au cabinet , je rentre tard fatigué, finis la paperasse et je m’endors régulièrement sur notre canapé.

Le vendredi soir alors que je viens tout juste de rentrer mon téléphone sonne , c’est Lucien , il est en ville et il insiste pour venir , je lui donne notre adresse. J’annonce à ma femme que Lucien va arriver et qu’il reste manger.

Vingt-cinq minutes plus tard, il est là avec une bouteille de whisky et un bouquet de fleurs à la main. Il est impressionné par notre appartement , embrasse Marie, la complimente sur sa beauté et sur ses goûts de femme d’intérieur, elle rougit .

Installés sur le canapé dans notre grand salon avec nos verres, pendant que Marie organise le dîner dans la cuisine, nous parlons de nos épopées à l’époque où nous étions sur les bancs de l’école de médecine, il se rappelle de tout , Escort Esenyurt les moments où l’on prenait de la drogue, les copines, les fêtes. J’essaye de lui faire comprendre que cela est loin et que maintenant je vis une vie plus paisible, plus routinière, visiblement trop paisible pour lui, il me demande comme va mon couple , si je m’amuse bien avec femme, qu’il trouve jolie, distinguée et assez réservée . Je lui révèle qu’elle vient d’une famille catholique assez riche et que se sont mes parents qui ont joué les entremetteurs et ont convaincu ses parents qu’elle épouse un docteur plutôt qu’un petit bourgeois prétentieux. Il rigole en me traitant de gigolo . Nous trinquons, il me dit qu’il à de la drogue sur lui et que se serai sympa de prendre un petit rail comme au bon vieux temps. Les deux verres de whisky ont leurs petits effets et il me donne envie le con. Je lui dit de me suivre dans mon bureau que je ferme à clé. Il s’assoit sur une chaise me demande de mettre un peu de musique, sort un petit pochon et fait des lignes , j’en prend une, il m’en fait prendre une autre, nous buvons aussi. Je suis vaporeux et au ralenti, les mots ont du mal sortir de la bouche, je sourit bêtement, il sort un petit flacon, avec du liquide , il en met quelques gouttes dans mon verre et m’aide à le porter à mes lèvres.

J’ai du mal à marcher , Il me maintient pour retourner au salon et m’assoit dans le canapé, il sourit, me ressert du whisky dans lequel il rajoute des gouttes, il regarde dans notre bar et prépare un autre verre , un martini et ajoute des gouttes de son flacon, il disparaît quelques minutes. Lorsqu’il revient il Esenyurt Escort Bayan me fait boire mon whisky , je veux parler mais je n’y arrive pas.

« Ta femme a apprécié le martini et elle vas nous rejoindre »

Effectivement Marie arrive, Lucien la prends par la main là fait s’asseoir sur le fauteuil en face de nous, ils parlent, Lucien se lève mets de la musique, fait finir son verre à Marie, la prends par la main, elle se lève difficilement, il lui retire sa robe, je ne comprends pas ce qu’il fait, je voudrais intervenir mais je ne peux rien faire, Marie est en sous vêtements et talons, Lucien a sorti son téléphone et la filme, il lui retire son soutien-gorge, lui palpe les seins, lui retire sa culotte en dentelle, s’extasie devant son sexe épilé.

Il l’a refait s’assoir sur le fauteuil et lui écarte les jambes sur les accoudoirs, cette vision est une obscénité sans nom, Marie ne bronche pas, je ne sais même pas si elle est consciente de ce qui se passe ,j essaye toujours de parler mais rien ne sort, Lucien revient vers moi.

« T’inquiètes, elle ne se souviendra de rien j’ai forcé sur la dose, tant quand à toi , juste comme un rêve , tu dois me prendre pour un salaud, mais je n’ai pas le choix. » Lucien envoie un texto en même temps. Une minute après l’interphone de l’appartement sonne, il répond.

« cinquième étage gauche »

Un groupe d’homme avec des cagoules arrivent dans notre salon, ils ont des sacs. Un sort des câbles et des projecteurs qu’il braque sur ma femme, il y a même un chien, un berger allemand . Un homme arrive une caméra numérique à la main. Les autres enlèvent Esenyurt Escort leurs pantalons, leurs caleçons et se branlent le sexe. Le gars derrière la caméra annonce.

« On a 15 mn ni plus ni moins , belle bourgeoise, tu vois Lucien quand tu veux, attention, prêt..action!»

Un homme s’accroupie, lèche la chatte et le trou du cul de ma femme goulûment, un autre lui mets une bite dans la bouche , Lucien s’assoit à côté de moi et caresse le chien, de temps à autre discrètement il prends quelques photos avec son portable.

Marie haletante est sortie du fauteuil et empalée par la chatte sur la grosse queue d’un gars allongé, d’oū se suis je vois son cul rebondir , les effets des drogues ont annihilé tous sentiments de rébellion, j’assiste impuissant au viol de ma femme, un autre gars se présente derrière elle et pointe son membre sur son anus, le cameraman est juste au dessus et filme en gros plan le gland qui s’introduit dans le fondement de Marie qui pousse un cri aigu et est ensuite secouée comme une poupée de chiffon par les deux molosses qui après quelques minutes inondent sa chatte et son cul de sperme. Marie est mise à quatre pattes et le chien est placé devant son cul pour laper sa croupe, la langue du chien s’infiltre dans tous les coins et les recoins, Marie que maintiennent les autres gars à de sobres gémissements.

Le cameraman annonce

« C’est coupé, 3 minutes pour remballer et on dégage, Lucien on continue comme d’hab, belle trouvaille! »

Les gars se rhabillent, remettent tout dans les sacs et ils sortent aussi rapidement qu’ils étaient venus. Lucien fait boire un autre verre à Marie qui a toujours le cul en l’air et en profite pour lui caresser les fesses.

« Tu as vraiment une superbe femme » me dit il en approchant un verre de ma bouche.

« je t’appel demain .»

Mes yeux se ferment .

Le lendemain je me réveille dans notre lit, avec le vague souvenir d’un rêve étrange , Marie dort à mes côtés.

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Le pari

Amateur

Tout commença par un pari stupide. Je prenais un verre avec mon meilleur ami Pierre et nous discutions des relations hommes-femmes. Lui me soutenais que toutes les femmes étaient des salopes en puissance et moi je lui assurais que ce n’était pas le cas . Je prenais comme exemple mon épouse depuis plus de vingt ans. Marie-Sophie, 55 ans, encore un corps de rêve malgrè son âge. De longues jambes souvent mis en valeur par les jupes qu’elle porte. Pierre éclata de rire et me lança qu’elle la première, il la mettait dans son lit quand il voulait. Pierre est plus jeune que moi, 35 ans, et il est un grand séducteur. Souvent avec des femmes mariées du reste. Il adorait rendre les maris cocus. Et c’est la que tout dérapa. Il me paria qu’il mettrait dans son lit Marie-Sophie pour le week-end. Nous étions vendredi soir…J’acceptais le pari….

Pierre me dit de rentrer chez moi et de me cacher dans une pièce de notre pavillon profitant de l’absence de Marie-Sophie qui ne devait rentrer qu’après sa réunion dans son club d’oeuvres de bienfaisance dirigé par l’épouse du maire et qui venait en aide aux nécéssiteux de la commune bougeoise ou je réside.

J’arrivais avant qu’elle ne rentre et me cachais dans une des pièces de notre pavillon qui servait de débarras depuis le départ de notre fille de la maison.

Marie-Sophie ne tarda pas à rentrer. J’avais laissé la porte entr’ouverte et je matais ma femme vétu d’une jupe rouge sur des bas noirs. Les talons aiguilles de ses escarpins noir vernis claquaient sur le dallage de notre salon. La sonnerie retentit et elle alla ouvrir la porte.

Tiens Pierre….

Je n’entends pas la réponse de Pierre mais je le vois rentrer dans le salon. Ma femme lui explique que je ne suis pas la mais elle lui propose une verre qu’il accepte.

Je le vois qui matte les jambes et le cul de ma femme moulé par sa jupe pendant qu’elle fait le service. Ils s’assoient tous deux dans le canapé.

Marie-Sophie croisa les jambes dévoillant ses cuisses à Pierre qui les matte sans aucune gêne. Cantonné dans mon rôle de voyeur, je commence à trouver la situation excitante.

Je les entends discuter de tout et de rien. Tout à coup, Pierre lui demande brutalement si elle m’a déjà trompé! Marie-Sophie rougis violemment et se tourne vers Pierre.

-Mais bien sur que non voyons, lance t’elle scandalisée.

Je souris, Pierre a perdu son pari!!

Allons! Tu veux me faire croire que bien

foutu comme tu es aucuns hommes ne t’a jamais draguée?

Je n’ai pas dit ca mais …J’ai resisté.

Je ne te crois pas!

Et disant cela, il posa sa main sur la cuisse de Marie-Sophie et commença à remonter sa jupe dévoilant encore plus les cuisses de mon épouse.

Marie-Sophie sursauta et tenta de repouser la main baladeuse de Pierre qui remonte de plus en plus haut. Escort Avcılar Marie-Sophie tenta désèspérément de se lever du canapé. Je bande comme un malade en voyant ma femme tenter de résister aux assauts de Pierre .

Ma distinguée épouse est décoiffée et elle halète en luttant contre Pierre. Je me demande quand même si je ne devrais pas intervenir, je trouve que ce pari va trop loin. Mais un événement va me faire changer d’avis….

Pierre a reussi à relever la jupe de ma femme dévoilant un porte-jarretelles en dentelle ou sont accroché ses bas noirs. Je suis surpris de la voir ainsi équipé, ce n’est vraiment pas son habitude. Elle met plutôt des collants d’habitude. Je ne me rappelle même pas l’avoir vu en porte-jarretelles sauf lors de notre nuit de noce… C’est dire ….2eme surprise qui me laisse encore plus sidéré, elle ne porte pas de string sur sa jupe.

Pierre rugit :

– Ne me dis pas que tu t’habilles comme ca pour aller a une œuvre de bienfaisance salope!

Marie-Sophie pousse un gémissement, Pierre a plonger ses doigts dans sa fente et ils les fait coulisser rapidement. Je crois halluciner en voyant ma femme commencer à onduler du bassin, se tordant sur le canapé, la jupe tirebouchonnée autour de la taille, les yeux fous, complétement décoiffé.

Pierre s’attaqua au chemisier blanc que portait Marie-Sophie et le déchira exhibant alors sa poitrine enfermée dans un soutient-gorges blanc. Il baissa les balconnets dévoilant les seins laiteux de mon épouse. Il commença à sucer les pointes des seins faisant des bruits de succions horribles. Tout en suçant les seins de Marie-Sophie, il continue de la branler sans ménagements. Je bande comme un fou en voyant cette scène qui pourtant aurait du me revulser, je devrais intervenir mais je reste hypnotisé par le « viol » de ma femme.

Pierre sortit sa bite et appuyant sur la nuque de Marie-Sophie , il lui enfonça sa queue dans la bouche. Marie-Sophie eut un hoquet et elle avala le membre de Pierre. Elle le suce avec application, lui titillant le gland avec la langue, lui léchant la hampe, puis l’avalant en entier, s’étouffant à moitiè. Pierre la guide en la tenant par les cheveux faisant coulisser sa bite entre ses lèvres rouges. Ma femme lui pompe la bite avec science et application. Je suis écoeuré de voir ma distinguée épouse en train de se comporter comme la dernière des salopes!

Que dis je , comme la dernière des chiennes!

Pierre releva Marie-Sophie et la poussa vers la table de notre salon. Elle posa ses mains sur la table cambrant son cul, la jupe tirebouchonnée autour de la taille. Les jambes bien écartées dévoilant sa vulve. Pierre la pénétra violemment la faisant crier. Puis ses cris se transformèrent en couinements puis en gémissements. La tenant aux hanches, Pierre la pilonne brutalement. Son ventre Avcılar Escort Bayan vient claquer contre ses fesses. Marie-Sophie halète sous les coups de pines de mon copain. Ses seins gigotent dans tous les sens.

Pierre se retira et positionna Marie-Sophie à quatre pattes au milieu de notre salon. Il se placa derrière elle et lui enfonça son index et son majeur dans sa chatte. Marie-Sophie pousa un grognement sourd. Je vois Pierre qui agite ses doigts dans la fente de ma femme. Marie-Sophie à les yeux exorbités, elle ouvre la bouche, de la salive coule sur son menton. Elle secoue la tête dans tous les sens. Gémissante….

N’en pouvant plus, bandant comme un fou, je sort mon sexe et commence à me masturber. Pierre enfonça son majeur dans le cul de ma femme, pour la préparer à l’enculade lui dit il en ricanant.

En disant cela , il jette un coup d’oeil dans ma direction m’observant. Marie-Sophie le suplia de lui épargner cette humiliation, ne l’ayant jamais fait lui assura t’elle.

Et je savais que c’etait vrai! Enfin….Pas avec moi.

Sans aucune pitié et ne tenant absolumment pas compte de ses supplications, Pierre pointa son dard sur le trou du cul de mon épouse et s’enfonça dedans faisant hurler Marie-Sophie ce qui me glaça le sang. Ma femme ouvre la bouche, tentant de reprendre sa respiration, les yeux fous. Les mains sur ses hanches, Pierre bouge son bas-ventre doucement d’abord puis de plus en plus rapidement. Il s’agite, la baisant comme une chienne. Ce salaud baise ma femme en me regardant avec un sourire ironique. J’entends les petits cris de mon épouse. Rouge, en sueur, totalement décoiffée, elle gémit sans discontinuer.

Ma femme semble s’être habituée à l’enculage de Pierre tellement vite que j’ai du mal à croire qu’elle se fait sodomiser pour la première fois. Et Pierre semble croire la même chose.

– C’est pas la 1ere fois que tu te fais enculer

sale petite pute! Avoue! Lui cria t’il en lui donnant une claque sur les fesses tout en continuant de la besogner.

Et ma femme avoue!

Horrifié, je l’entends répondre :

– Non, Non, c’est pas la premère fois.

– T’aime ça, hein, sale bourge, crie Pierre en la défonçant comme un fou.

Ca doit l’exciter d’insulter ma femme en sachant que je l’entend.

– Oui, oui, c’est vrai , halète Marie-Sophie, c’est pas la première fois. J’ai déjà eu plusieurs amants.

– T’entends ça Claude!

Marie-Sophie poussa un cri en entendant mon prénom et tenta de se relever mais Pierre la tiens fermement et comme elle est emmanché jusqu’ à la garde, elle ne peut se dégager. Je décide de sortir de ma cachette.

Marie-Sophie poussa un hurlement en m’apercevant et tenta de nouveau de se dégager mais Pierre n”ayant aucune pitié, il continue de la baiser devant moi. Complétement Avcılar Escort excité par cette situation et en colère suite aux révélations de ma femme que je prenais encore hier soir pour une reine de vertue, je m’approche d’elle et lui enfonce ma queue dans sa bouche lui ordonnant de me suçer. Je la tiens par les cheveux et elle me suce la bite en me regardant par en-dessous. Avec un regard de femme domptée. Pendant ce temps, Pierre continue de la besogner…..

Je suis assis dans le canapé et Marie-Sophie monte et descend empalée sur ma queue tout en suçant la bite de Pierre debout sur le canapé. Nous baisons ma femme depuis plus d’une heure maintenant. Elle nous a supplié d’arrêter plusieurs fois, n’en pouvant plus, mais nous n’en avons cure de ces suppliques. Pierre la force à se lever et elle se retrouve de nouveau à quatre pattes. Elle s’empale sur Pierre pendant que je l’encule. Nous alternons nos coups de reins la faisant gueuler comme une truie.

Marie-Sophie est à genoux en posture de soumission totale, nous nous masturbons au dessus de son visage ravagée. J’éjacule le premier liberant un torrent de foutre qui va s’écraser sur le visage de ma femme. Elle reçoit mon sperme sur son menton, son nez. Pierre lui balance son foutre sur ses cheveux, son front, ses yeux. Elle reste ainsi de longue minutes sans rien dire. Pierre prend des photos avec son portable.

Pour garder un souvenir me dit il.

Depuis cet épisode, la vie de Marie-Sophie a radicalement changée. Elle est devenue la maitresse, que dis je, l’esclave sexuelle serait plus juste de Pierre qui en dispose quand il le souhaite. Avec mon accord bien sur. Je baise ma femme dans des lieux insolites maintenant alors qu’avant je n’aurais pas osé le faire. Comme par exemple ce soir, au Gala des œuvres sociales de la ville en présence de Monsieur le Maire et du Préfet. Marie-Sophie, très sexy dans un robe noire moulante est à genoux dans une annexe de la cuisine. Elle me pompe la bite. C’est d’autant plus excitant que je sais que juste à coté il y a les cuisiniers qui prépare le diner. Tout en écoutant le discours du Maire, je la releve remontant sa robe dans un froissement d’étoffe. Aucun sous-vétements sous sa robe du dernier chic , sauf un porte-jarretelles bien sur tenant des bas résille. Je la pénétre et elle gémit sourdement. Je la pilonne comme un fou pendant que résonne les applaudissements. Le Maire a fini son discours mais il reste encore le discours du Préfet…

Le Maire s’approche de moi et me demande ou se trouve ma charmante épouse. Je botte en touche, lui disant que je l’ai perdu dans la foule.

En fait, nous avons été surpris par les cuisiniers. Sous peine d’être dénoncé, j’ai du leur offrir une compensation. Quand je suis revenu rejoindre les invités, j’ai abandonné ma femme aux prises avec les cuisiniers qui lui avait remonté sa robe de soirée grand luxe. Debout, en équilibre sur ses talons aiguilles, penchée en avant, elle suçait la bite de deux cuisiniers pendant qu’un troisième lui défonçait le cul….

Finalement, Pierre avait gagné son pari…

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Le chantage de Summer 11

Amateur

Ceci est une FICTION avec chantage et contrainte. Je remercie l’auteur original Wilcox010 de m’avoir permis de la traduire.

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Résumé : Summer WAYNE, professeur d’anglais, est tombée sous la coupe d’un de ses étudiants qui a découvert des photos d’elle sur un site réservé aux adultes. Mais si elle n’est pas totalement convaincue, elle se rend compte qu’elle est une vraie soumise.

*********

Le téléphone de Todd lui indique qu’il vient de recevoir un message. Celui-ci dit : « ta salope vient de quitter le salon habillée seulement d’un chemisier, de sa jupe et de ses talons. Ses sous-vêtements sont dans un sac, l’œuf est dans sa chatte et le bronzage est fait ».

Todd regarde l’horloge sur le four de la cuisine de Summer. Il avait fait faire un double de la clé pendant qu’elle était dans le salon de Marco pour se faire poser les piercings sur son oreille, ses mamelons et ses petites lèvres. Todd attendait ce message de Sandy avec impatience. La jeune fille était devenue une de ses soumises il y a quelques années. Il l’avait surprise en train de faire une fellation au concierge de l’école un soir où il était resté tard. Sandy était seulement vêtue de ses chaussures et se trouver à genoux dans le gymnase de l’école. Todd avait pu prendre de photos du moment où le concierge éjaculait dans la bouche de Sandy.

L’utilisation de ces images avait donné à Todd, l’expérience, la manipulation et l’exercice du pouvoir sur une femme soumise. Sandy avait deux ans de plus que Todd et elle n’avait pas eu le bon sens de protester ou de se battre contre le garçon. Elle se conformait toujours à ses exigences à cause de ces photos qu’il possédait. En effet le père de Sandy était un avocat éminent et bien connu et elle ne pouvait se permettre de le déshonorer de quelque façon que ce soit.

Le travail à temps partiel de Sandy au salon de bronzage a donné l’occasion à Todd de commencer à donner un beau teint au corps de Summer et à exercer davantage son influence sur elle. Avoir soumis Sandy lui a permis de pouvoir encore plus manipuler la pauvre professeure d’Anglais.

Le téléphone de Todd retentit une seconde fois. Cette fois-ci le message contient une photo de Summer se pliant à la taille avec ses mains écartant ses fesses. Todd peut voir clairement les deux piercings sur les petites lèvres ainsi que la marque du petit string sur le bronzage. Todd remarque aussi les restes du marquage qu’il a fait ce matin en classe. Il y a toujours « je suis » sur une fesse et « une salope » sur l’autre.

Todd répond par message : « Sandy ma salope tu as fait du bon boulot et j’ai hâte de te revoir. A bientôt »

Il regarde l’horloge et se rend compte qu’il est 19 heures 30. Il sait que sa salope va être très en retard, de sa faute, mais très en retard quand même. Il est temps de faire comprendre à Summer sa situation difficile, qu’elle ne peut pas en sortir et qu’elle est sa salope soumise totale.

De son petit déjeuner de samedi matin, Todd se souvient qu’il y a plusieurs grands tabourets de bar autour du bar dans le salon. Il y va et revient à la cuisine avec un tabouret sans dossier mais avec une assise rembourrée. Il place le tabouret au milieu de la cuisine. Sur le plan de travail en granit noir, il pose quatre cordes en nylon, le gode noir qu’il a récupéré dans la table de chevet ainsi qu’une raquette de ping-pong qu’il a ramenée de chez lui. C’est une ancienne raquette avec une finition texturée verte, ce qui, selon Todd, laisserait un joli motif sur le cul de Summer.

Todd va au réfrigérateur et sort une bière Corona Extra . Puis il s’assoit à la table de la cuisine, Il commence à réfléchir sur les événements qui l’on conduit à prendre le pouvoir sur sa pauvre professeure d’anglais. Il repense à cet acte stupide d’envoyer une photo d’elle dénudée et à la personnalité soumise de cette femme.

Bien qu’il n’ait que 18 ans, Todd avait l’imagination d’un homme beaucoup plus âgé. Il pense continuellement aux moyens de profiter de l’enseignante. Mais d’abord il doit la briser et lui faire prendre conscience qu’elle est une simple salope soumise. Elle doit comprendre qu’elle doit respecter toutes les demandes et tous les désirs pour plaire à son Maître.

Summer regarde l’horloge de sa voiture et n’arrive pas à croire qu’il est déjà 19 heures 30. Elle avait été en retard au salon et maintenant elle ne pourrait pas être chez elle à 19h30 comme lui avait ordonné Todd. Les larmes commencent à lui monter aux yeux et elle éclate en sanglots. Elle continue à conduire mais elle cogne le volant avec son poing tout en criant son désespoir. Pendant dix minutes, elle ne peut s’arrêter de pleurer.

Elle commence à se calmer quand elle se rend compte en voyant le paysage qu’elle se trouve à 10 minutes de chez elle. Elle s’arrête sur le parking du Mc Donald local, allume la lumière du plafonnier, et se regarde dans le miroir. Son visage est dévasté, du mascara coule sur ses joues et elle a les yeux gonflés. Elle n’arrive pas à croire que la femme qu’elle voit dans le miroir est la même que celle qui a envoyée Escort Avcılar la photo jeudi dernier. Et ça ne faisait que cinq jours qu’elle avait perdu le contrôle de sa vie et était devenue soumise à un de ses élèves.

Elle prend quelques mouchoirs dans son sac à main se trouvant sur le siège passager à côté du sac contenant son soutien-gorge jaune, son string jaune, son porte-jarretelle et ses bas noirs, sous-vêtements que Sandy ne lui avait pas permis de remettre. Alors qu’elle se tamponne les yeux et le visage, elle est ramenée à la réalité, Elle se rend compte qu’elle a 20 minutes de retard et qu’il lui en faut encore 10 pour arriver chez elle. « Que fais-je » Se demande-t-elle. « Dois-je appeler Maître T. ou dois-je continuer à rouler? Peut-être que si je l’appelle et que je lui explique les raisons de mon retard il ne sera pas trop en colère » De dit-elle.

Après avoir essuyé les traces de mascara sur ses joues, Summer prend son téléphone et compose le numéro de Todd avec ses mains tremblantes. Il faut cinq sonneries avant que le garçon ne réponde :

– Où es-tu salope?

– Todd, elle m’a fait faire toutes sortes de poses pour des photos pour une campagne publicitaire sur internet pour les propriétaires du salon. Elle m’a faite poser pour quelqu’un qui prenait des photos et que je ne connaissais pas. Elle m’a dit que tu lui avais demandé de la faire. Est-ce vrai Todd? Débite Summer.

Mais au même moment où elle finit sa phrase, elle sait qu’elle n’aurait pas dû prononcer le prénom de son élève, Todd. Elle sait qu’elle s’est mise en difficulté mais c’est trop tard. Elle essaie d’expliquer son retard et de lui faire comprendre que ce n’est pas de sa faute. Elle ne peut pas savoir que c’est le garçon qui a prévu tout cela et qu’il a piégé sa professeure d’Anglais pas méfiante.

Todd répond rapidement :

– C’est qui Todd? A qui crois-tu parler?

Summer répond nerveusement :

– je suis désolée Maître T., je suis tellement chamboulée par tous les événements de la journée et je suis a bout de nerfs.

– Où es-tu salope? Rétorque Todd.

– Je suis garée sur le parking du Mac Donald à dix minutes de la maison Maître T. Répond rapidement Summer.

Todd donne alors des instructions à sa soumise :

– Salope, tu vas aller dans le Mc Donald et tu t’achètes un grand coca. Je veux que tu le boives entièrement avant de rentrer à la maison.

– Mais Maître T., mon visage est horrible car je ne suis pas maquillée. Et Sandy ne m’a pas laissée remettre mon soutien-gorge, mon string, mon porte-jarretelle et mes bas avant de quitter le salon. Dit Summer.

– Attends salope, est-ce que je t’ai dit que tu ne devais pas porter tes sous-vêtements?

L’enseignante se retrouve dans une situation inconfortable. Elle avait respecté les ordres de Sandy qui voulait qu’elle ne porte que son chemisier, sa jupe et ses talons. Mais plus tôt dans la journée, Todd lui avait dit ce qu’elle devait porter et là, maintenant, elle n’est pas habillée comme il l’avait ordonné.

– Oh Maître T., s’il vous plaît, ne soyez pas en colère contre moi. Sandy m’a dit que c’est vous qui lui avez demandé que je ne porte pas de lingerie en sortant du salon. Supplie l’enseignante.

– D’accord salope, tu vas avoir une chance de rattraper ça . Prends tes sous-vêtements et va dans les toilettes du McDo. Rhabille-toi et refais-toi un maquillage de salope. Et rappelle-moi quand tu auras fini. Dit Todd avant de raccrocher.

Summer ramasse rapidement son sac à main, le sac contenant ses sous-vêtements et se dirige vers l’entrée du Mc Donald. Elle se souvient qu’elle n’a pas de soutien-gorge et que son chemisier ne cache pas beaucoup ses mamelons qui sont dressés à cause des piercings. Et parce qu’elle n’a pas de culotte, elle a l’impression que l’œuf vibrant veut sortir de sa chatte.

Heureusement c’est lundi soir, l’intérieur du restaurant n’est pas trop occupé, Summer pense reconnaître quelques serveurs derrière le comptoir, mais elle n’est pas sûre. Alors qu’elle atteint la porte des toilettes, elle est hélée par Mélanie, une de ses étudiantes de dernière année, présidente de l’association des élèves et capitaine des pom-pom girls de l’université.

Mélanie aimait bien Mme WAYNE et elle avait toujours admiré sa façon de s’habiller pour faire cours. Mais quand elle la regarde et voit ses tétons pointer contre le tissu du chemisier. Elle demande alors :

– Bonjour Madame WAYNE, Que faites-vous au Mc Donald?

Summer répond rapidement à la jeune fille :

– Bonjour Mélanie, je n’ai pas le temps de rentrer chez moi car il faut que j’utilise des toilettes rapidement.

Inquiète, Mélanie lui demande alors :

– Est-ce que ça va Mme WAYNE? Êtes-vous malade?

Summer se dit que ses joues peuvent peut-être montrer qu’elle avait pleuré dans sa voiture, qu’elle n’avait peut-être pas enlevé toutes les traces coulantes de mascara. Alors elle répond à son étudiante :

– Non ça va. J’ai été arrêtée par la police et ça m’a énervé, mais maintenant ça va.

Ne voulant pas continuer Avcılar Escort Bayan la discussion avec son élève, qui en classe était curieuse de tout, elle pousse la porte des toilettes et va dans la cabine pour les handicapés pour avoir plus de place pour remettre ses sous-vêtements.

Elle referme la porte derrière elle, enleve rapidement son chemisier et l’accroche sur la porte. Ensuite, elle défait sa jupe et commence à la faire glisser sur ses hanches quand la porte des toilettes s’ouvre. Elle entend alors la voix de Mélanie crier :

– Madame WAYNE, vous êtes là?

Summer ne bouge pas en espérant que le silence fera croire à la jeune fille qu’elle est partie. Mais elle entend :

– Je sais que vous êtes là Mme WAYNE. Est-ce que ça vous dérange si je vous attends? Je voudrais vous parler quand vous aurez fini.

L’enseignante sait que l’heure tourne. Elle ne peut pas perdre une minute de plus car Maître T. ne lui pardonnera pas, Mais elle doit répondre :

– Oui Mélanie, je pourrais te parler une minute, mais je dois me dépêcher, j’ai des amis ce soir chez moi.

– Très bien Mme WAYNE, je vais vous attendre à ma table avec mes amis. Répond Mélanie.

Summer entend la porte des toilettes s’ouvrir et se refermer derrière l’étudiante. Elle fait rapidement glisser sa jupe sur ses hanches puis sur ses jambes. Et un pied après l’autre elle sort de la jupe. Ensuite elle enlève ses talons hauts. Elle fouille dans le sac et sort le porte-jarretelle noir. Elle le fixe autour de sa taille. Elle s’assoit sur le siège des toilettes abattant fermé et commence à enfiler un bas. Mais sa position ne lui permet pas de bien le mettre. Alors elle se lève, place son pied gauche sur l’abattant et tire la soie le long de sa jambe. Une fois que le bas est remonté jusqu’en haut, elle le fixe avec deux attaches du porte jarretelle. Elle remet ensuite sa chaussure à talon gauche. Elle répète le processus avec sa jambe droite,

Elle saisit sa jupe noire et l’enfile. Elle l’attache et remonte la fermeture éclair. Puis elle reprend le sac afin d’en sortir son string jaune. Elle glisse ses pieds chaussés dedans et elle le remonte sur son entrejambe. Alors que le mince tissu se pose entre les petites lèvres de sa chatte elle sent que l’humidité de son sexe colle au sous-vêtement. « Qu’est-ce qui ne va pas chez moi? » se demande silencieusement Summer.

Sa main descend entre ses jambes et trouve les plis de sa chatte écarté par le string. Elle touche les anneaux dorés qu’elle n’a que depuis samedi. Un frisson la traverse quand elle revit les événements dans le salon dirigé par Marco. Plongée dans ses pensées, l’index de l’enseignante trouve son clitoris dressé contre le ruban du string maintenant complètement mouillé.

Alors qu’une de ses mains est enterrée dans son entrejambe, l’autre saisit entre le pouce et l’index son mamelon droit et le tord. Depuis le piercing, pour une raison étrange, son mamelon droit était devenu beaucoup plus sensible que son mamelon gauche. En le tordant, Summer sent un choc presque électrique dans son sein qui descend directement dans son clitoris. Alors, elle appuie son pied gauche sur les sièges des WC, se laisse aller en arrière contre la cloison de la cabine et commence à furieusement se masturber. Elle presse son vagin autour de l’œuf noir enterré dans sa chatte en espérant qu’il ne tombe pas.

Pendant ce temps, sans faire de bruit, Mélanie était revenue aux toilettes et s’était avancée jusqu’à la rainure de la porte de la cabine pour l’espionner. Elle voit sa professeure, appuyée contre la cloison, une main s’activant entre ses jambes et l’autre tordant son téton percé. « Oh mon Dieu, elle s’est faite percer les mamelons, je n’aurais jamais pensé cela de Mme WAYNE. » Pense-t-elle.

Summer tord son sein de plus en plus fort alors qu’un orgasme approche. Elle commence à gémir et respirer plus vite. Mélanie est hypnotisée par cette scène où sa professeure se masturbe dans les toilettes du Mc Donald. Alors que l’orgasme approche, la jeune fille regarde Summer glisser lentement le long de la cloison, ce qui l’oblige à écarter ses jambes. Mélanie croit bien avoir aperçu un anneau doré entre les jambes de Mme WAYNE.

Les doigts de l’enseignante frottant furieusement son clitoris et la torsion de son mamelon la stimulent tellement qu’elle jouit. Son corps est embrasé par un orgasme alors qu’elle continue à tripoter son clitoris à travers le tissu mince de son string. Sa bouche lâcha un « Oh mon dieu » quand elle sentit l’humidité de sa chatte courir sur ses doigts et goutter sur le sol.

Summer est surprise d’entendre la porte des toilettes s’ouvrir et des bruits sortant de la salle à manger du Mc Donald. Elle se lève rapidement sur ses jambes vacillantes l’obligeant à se stabiliser sur la cloison. Elle détache ses doigts de sa chatte mouillée, essaie d’écarter le tissu de son string pour que ses petites lèvres soient bien couvertes. Mais elle sent l’œuf glisser hors de son sexe. Alors, elle met sa main dans son string et, avec deux doigts, repousse l’œuf plus profondément Avcılar Escort dans son vagin. Elle est vraiment étonnée par l’humidité de sa chatte. Après avoir retiré ses doigts elle les regarde pour voir à quel point ils sont mouillés. Ses doigts sont bien recouverts de son jus. Alors elle les glisse dans sa bouche pour les nettoyer mais aussi pour déguster son jus. Elle aime le goût de sa chatte.

Elle accorde peu d’importance à la tâche humide sur le derrière de la jupe qui s’est formée pendant qu’elle se faisait jouir.

Elle glisse ses bras dans les lanières de son soutien-gorge jaune puis elle l’attache dans son dos. Enfin elle introduit un bras puis l’autre dans les manches de son chemisier blanc et transparent. Alors qu’elle commence à le boutonner, ses mains se mettent à trembler. Il est maintenant 19 heures 55, elle a donc 25 minutes de retard et il lui faut bien encore 10 minutes pour rentrer chez elle.

Elle se dit : « Je ne peux pas croire que je fais cela avec un de mes étudiants. Comment puis-je arrêter? Pourquoi me fait-il ça? Je vais arrêter tout cela quand je rentrerai. Après tout je suis adulte et ce n’est qu’un adolescent. »

Encouragée par cette pensée, Summer déverrouille la porte de la cabine, se dirige vers un lavabo et se regarde dans le miroir. Son visage est recouvert de traits de mascara à cause de ses pleurs dans sa voiture.

Ses paupières sont gonflées et ses yeux sont injectés de sang.

Elle se penche pour laver son visage quand la porte des toilettes s’ouvre. Elle essaie de ne pas faire attention à la personne qui vient d’entrer quand elle se rappelle qu’elle a été surprise à la fin de son orgasme par l’ouverture de cette porte mais qu’il n’y avait personne dans les toilettes avec elle. A ce moment, une femme d’environ trente ans ouvre et entre dans une cabine. Summer regarde le bas de la cabine inoccupée et ne voit pas de pieds suggérant qu’elle est occupée. « Oh merde, quelqu’un a entendu mon orgasme » pense-t-elle catastrophée.

Ses yeux commencent à se remplir de larmes mais elle se force à arrêter le flot en se demandant : « Qu’est-ce qui m’arrive? Qu’est-ce que Todd a fait de moi? »

Rapidement elle se remaquille le visage te les paupières. Elle s’assure de bien mettre sur ses yeux la couleur sombre que le garçon avait exigée. Ensuite elle se met son rouge à lèvres couleur rubis. Elle s’écarte du miroir en se disant que son maquillage la fait vraiment ressembler à une pute. Summer remarque alors qu’elle a boutonné complètement son chemisier alors qu’elle sait très bien qu’elle doit laisser les boutons du haut défaits. Elle remédie rapidement à cette erreur. Maintenant, elle a un joli décolleté dans lequel on peut voir le bord de son soutien-gorge jaune. Et si on regarde bien, on peut aussi voir ses mamelons sous le chemisier, car les piercings tiennent ses tétons dressés et le tissu fin du chemisier et du soutien-gorge n’arrive pas à les cacher.

Summer rassemble ses affaires de maquillage, les range dans son sac à main et sort des toilettes.

La jeune femme entrée plus tôt regarde à travers la fente de la cabine et se dit : « Quelle pute! ».

Quand Summer est dans la salle du Mc Donald, elle s’apprête à sortir quand elle se souvient qu’elle doit acheter un gros coca et le boire. Puis elle se souvient aussi qu’elle devait rappeler Todd des toilettes femme. « Mon Dieu, je ne vais jamais arriver à rentrer chez moi » Se dit-elle affolée.

Summer fait rapidement demi-tour sur ses talons noirs et pénètre de nouveau dans les toilettes. Les doigts tremblants, elle cherche sur son portable le numéro de Todd et l’appelle. La réponse du garçon lui tord l’estomac :

– Putain, qu’est-ce qui te prend si longtemps salope?

– Todd, j’ai du mal à sortir du restaurant car il y a des étudiants que je connais. Je dois être prudente. Plaide Summer.

Plus aucun bruit dans le téléphone, le garçon a raccroché et elle comprend immédiatement pourquoi.

– Mon Dieu, pourquoi suis-je si stupide? Dit-elle à haute voix.

Elle recompose rapidement le numéro de son élève mais il ne décroche pas. Elle entend l’annonce de la messagerie vocale. Alors elle lui laisse un message anxieux :

– Maître T., je suis désolée. Votre salope est désolée de ne pas vous avoir respecté. Rappelez-moi s’il vous plaît.

Puis elle attendit l’appel de son Maître en bougeant nerveusement d’un pied sur l’autre. Pendant ce temps, la femme dans la cabine restait assise pour écouter la suite des événements. Elle avait fini son affaire et était sur le point de sortir quand Summer était revenue. Elle avait pensé : « Ça peut être intéressant ».

Summer fait les cents pas dans les toilettes. Elle a mal au ventre et sa tête bouillonne. De la transpiration apparaît sur son front et sous ses bras. Elle n’a jamais autant transpiré que depuis qu’elle est soumise à Todd.

Celui-ci est tranquillement assis dans la cuisine de l’enseignante. Il espère qu’elle prenne mieux conscience de sa situation. Il trouve génial qu’elle se trouve continuellement en l’appelant Todd plutôt que Maître T.. Ainsi, elle se met toujours dans une situation qui la conduit dans l’embarras, la souffrance et la douleur. Il sait que Summer est une véritable soumise et que s’il continue à la manipuler, elle sera à jamais à son service.

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La nouvelle vie de Christine Ch. 11

Amateur

Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

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Ce matin, j’habillai Christine avec une mini-jupe couvrant à peine son derrière, des sous-vêtements noirs ainsi qu’un chemisier rouge sang, si bien que son soutien-gorge était visible. Aujourd’hui, elle était complètement habillée étant donné qu’elle allait au travail directement.

Lorsque nous sommes sortis, je lui donnai une première série d’instructions pour la journée. Arrivée à son bureau, elle devait appeler Marc et dire aux autres membres de son équipe qu’ils ne seraient pas disponibles les deux prochaines heures sous prétexte d’une formation quelconque.

Elle devait allumer la webcam et attendre nue à quatre pattes sur le sol son collaborateur. Il devrait la doigter jusqu’à ce qu’elle mouille suffisamment. Christine était bien consciente qu’il lui faudrait plus.

Alors qu’elle quittait la voiture elle répondit « Oui Maître » avant de s’éloigner sur ses hauts talons.

De retour à la maison, je me dépêchai d’allumer mon ordinateur. Je ne fus pas surpris de voir ma belle-mère à quatre pattes, son assistant derrière elle en train de la fourrer profondément avec ses doigts.

J’écoutai Christine gémir et je sentais l’orgasme monter en elle. Elle jouit environ 10 minutes après que j’eus commencé à regarder. En bourrant son poing dans sa bouche, elle faisait de son mieux pour retenir ses cris afin que les autres membres de la société ne l’entendent.

L’orgasme terminé, elle se leva et s’assit sur le bureau. Elle écarta les jambes puis avec sa main droite elle attrapa les plis humides de sa chatte afin de les séparer, exposant ainsi son clitoris et son vagin. On arrivait ainsi au bout de ce que j’avais imaginé pour elle toute la semaine.

– Marc, il est temps de vous indemniser entièrement. Venez me baiser s’il vous plaît. Mettez votre bite dans mon sexe.

Elle attendit complètement offerte que son assistant la comble.

Marc ne se fit pas prier. Il se dirigea vers elle avec détermination. Il baissa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Puis il plaça la tête de son membre en érection à l’entrée mouillée de la femme. Ma soumise allait enfin être prise par son subordonné. Celui-ci dit :

– J’ai attendu ça toute la semaine Christine. Fourrer ma bite dans votre chatte est un fantasme que j’ai depuis le jour où vous êtes devenue ma patronne.

Ma belle-mère retira sa main et se pencha en arrière, se préparant à l’invasion de son intimité par son assistant.

– Si j’avais su que vous étiez si pute, nous aurions pu faire cela plus tôt. Dit marc en frottant sa queue le long de la fente et du clito de Christine.

Comme je lui avais demandé, elle commença à supplier :

– S’il vous plaît Marc, arrêtez de me faire languir et enfoncer votre grosse bite en moi. Je la veux entièrement.

Il continuait à taquiner sa chatte en plongeant légèrement son sexe puis en le retirant aussitôt.

– S’il vous plaît Marc……Baisez-moi comme une pute…. S’il vous plaît….. Allez-y……

– D’accord salope!

Marc grogna et d’un grand coup de hanche, il enfonça son membre profondément.

– ARGGGGGHHHH! OUI! OUI! Cria Christine en jetant sa tête en arrière.

Alors qu’il la pilonnait d’un rythme puissant, la faisant gémir, Marc lui dit :

– Si seulement les collègues pouvaient vous voir maintenant. S’ils savaient qu’ils travaillent pour une pute.

Il était tellement excité de baiser sa patronne qu’il se raidit et lui dit qu’il allait jouir.

– Attendez marc. Je voudrais que vous éjaculiez sur mon visage s’il vous plaît.

Elle le poussa et se mit à genoux devant lui, prenant sa bite dans la main et ouvrant grand la bouche. Une minute plus tard, Marc déchargea cinq jets de sperme sur le visage et dans la bouche de sa patronne. Les cheveux, le front, le nez ainsi que le menton de Christine furent enduits de la semence gluante de son assistant.

Ils se rhabillèrent tous les deux. Marc s’excusa avec un grand sourire mais Christine s’était déjà assise à son bureau pour commencer à travailler, le visage couvert de sperme. Elle devait le laisser pendant une demi-heure, en priant que personne ne la dérange, puis elle pourrait se nettoyer avec des lingettes.

A midi cinq je lui envoyai un message dans le chat :

« Emmène Marc aux toilettes et dis-lui de te baiser. Qu’il fasse une vidéo avec son téléphone. Je veux qu’il éjacule sur tes seins. Ok? »

Elle répondit une minute plus tard :

« Oui Maître »

Christine quitta le bureau à midi douze et revint à 12h40. Elle m’envoya un message :

« C’est fait Maître »

« Escort Avcılar C’est bien salope. Envoie moi la vidéo et attends des instructions »

Je regardai la vidéo. Christine était sur le siège des toilettes, la tête coincée sur le côté du réservoir de chasse d’eau. Elle avait une jambe sur le porte rouleau. Elle tenait l’autre en arrière avec une main derrière l’articulation du genou. Son chemiser était ouvert, ses seins énormes étaient sortis du soutien-gorge.

Il y avait très peu de paroles sur la vidéo. Marc disait seulement à sa patronne qu’elle était une sale pute pendant qu’il la baisait rapidement de peur d’être pris. Puis il sortit son sexe avant de gicler sur ses seins et son chemisier.

C’était parfait. Je pensai déjà à la suite de la journée. Ma belle-mère ignorait encore ce que j’avais comme idée.

Alors qu’elle devait penser qu’elle avait terminé sa journée, je retournai à mon ordinateur afin de lui envoyer un autre message.

«Appelle Marc et dis-lui que tu as besoin de lui plus tard et qu’il va devoir rester tard au bureau. Ensuite lorsque tous les employés seront partis, tu te mettras nue, laissant tes vêtements sur le bureau. Tu garderas juste tes talons. Ensuite tu demanderas à ton assistant de te rejoindre. Tu l’attendras devant la porte, à genoux. Tu lui feras une fellation et ensuite tu le laisseras te prendre en levrette. »

Comme d’habitude je reçus une réponse positive et je l’entendis téléphoner à Marc :

– Marc, j’ai besoin de vous ce soir après cinq heures. Appelez-moi lorsque les bureaux seront vides.

Son téléphone sonna à 17h07. Elle décrocha et le reposa aussitôt. Puis ses mains commencèrent à défaire les boutons de son chemisier. Elle empila ses vêtements un par un sur le bureau. Quelques minutes plus tard elle fut cul nu sur ses talons. Je regardai ses gros seins balancer et rebondir alors qu’elle allait ouvrir la porte de son bureau.

Tout en appelant son subordonné, elle se laissa tomber à genoux, prête à le satisfaire. Il arriva, son pantalon déjà défait, sachant que sa patronne allait le sucer.

Il descendit son pantalon et son caleçon, plaçant son sexe et ses couilles près du visage de Christine.

– Vous n’arrêtez pas d’avoir envie de ma grosse bite n’est-ce pas sale pute?

Il oubliait que sans moi, il continuerait à seulement fantasmer sur sa collègue.

– Mummphh, mumppppphh

Christine marmonna alors qu’elle avait pris la bite tout au fond de sa gorge et qu’elle s’activait à le sucer.

Je pris alors mon téléphone et tapai le texte suivant :

– Je pense que vous devriez voir ce que fait Christine dans son bureau après les heures de travail.

Puis je l’envoyai. Ce message était destiné à Francis MULLER le patron de ma belle-mère.

Les quarante minutes suivantes, je regardai Marc utiliser soigneusement la bouche et la chatte de Christine. Il alternait souvent afin qu’elle puisse goûter son propre jus sur la bite de son assistant. Cette fois, lorsque Marc indiqua qu’il allait jouir, ma belle-mère eut un orgasme. Elle hurla qu’elle voulait qu’il éjacule dans ses entrailles. Et pour la première fois, son collaborateur se vida en elle.

Une fois qu’ils se furent rhabillés tous les deux, j’appelai Christine et lui demandai de prendre un taxi pour rentrer. Elle arriva vers 19 heures. Alain son mari étant encore couché complétement saoul, je penchai ma belle-mère sur le bras du canapé, soulevai sa jupe et baissai sa culotte avant de l’enfiler rapidement.

Je la baisai durement pendant quinze minutes avant d’ajouter mon sperme dans son vagin. Une fois terminé, je la laissai à moitié évanoui sur le canapé. Elle avait eu encore deux orgasmes.

Le lundi matin suivant, nous revenions à une routine normale. Christine choisit ses vêtements et s’habilla avant de descendre. Toutefois elle savait maintenant ce que je voulais d’elle donc sa tenue était très sexy.

Elle se rendit au travail, tout étonnée que je ne lui donne aucune instruction. J’étais sûr que Marc serait tout aussi surpris alors qu’il passerait la journée sans activité sexuelle avec sa patronne.

Christine pris un appel téléphonique juste après le déjeuner. Cette communication attira mon attention. Je ne compris que la fin :

– …… Oui M. MULLER, je peux rester plus tard ce soir…….. D’accord, je vous attend dans mon bureau à 17h15.

Je me demandai si son patron l’avait vu vendredi. Avait-il reçu mon message? En tout cas Christine n’était pas au courant.

A 17h05, je m’assis devant mon ordinateur et j’attendis, comme ma belle-mère, que son chef arrive.

A 17h15, il frappa une fois à la porte du bureau puis entra avec autorité et arrogance. Il laissa la porte battre derrière lui et s’assis sur la Avcılar Escort Bayan chaise en face du bureau de son employée. Un grand sourire éclairait son visage. Je sus alors qu’il avait vu la femme en action vendredi soir. Aujourd’hui, il voulait prendre son tour.

Il y eu une minute de silence. Je regardai Christine gênée, se déplaçant maladroitement sur sa chaise. Elle se posait des questions. Francis demanda :

– Aimez-vous votre travail ici Christine?

Ma belle-mère était complétement inquiète :

– Euhhh…. Oui bien sûr. Pourquoi demandez-vous cela Monsieur?

– Parce que si vous voulez continuer à travailler dans ma société vous devez vous présenter ici.

Il montra le sol juste entre lui et le bureau.

– Pardon Monsieur MULLER? demanda-t-elle.

– Vous avez très bien entendu. Dois-je me répéter?

Il avait haussé le ton. Sa voix irradiait l’autorité et le pouvoir.

Christine se leva de sa chaise et fit le tour du bureau afin de se placer entre son patron et son bureau. Francis leva les yeux. Pendant une minute ou deux, le silence mit mal à l’aise ma belle-mère. Elle déplaçait son poids d’un talon sur l’autre ne sachant que faire jusqu’à ce qu’il parla de nouveau.

– Enlevez vos vêtements! Fut tout ce qu’il dit.

– Par….. Pardon? Balbutia-t-elle.

– Enlevez vos vêtements comme vous le faites pour Marc DELAIN. Dit-il en la fixant et en attendant.

– Je…. Je….. ne sais pas…. ce que……

Elle bégaya jusqu’au moment où son patron la coupa :

– Comment dois-je vous faire comprendre Christine? Enlevez vos vêtements ou je dois le faire moi-même? Je suis sûr que Marc n’a pas eu le même problème vendredi soir lorsqu’il vous a baisé. N’est-ce pas?

Il se mit debout en face d’elle, la forçant à faire un pas en arrière, ses fesses tapant le bord du bureau.

– Non….. M. MULLER. Dit-elle en levant les yeux alors qu’il la plaquait contre le bureau.

– Je le savais.

Il tendit la main et enleva la veste de la femme et la laissa tomber sur le bureau. Puis ses mains commencèrent à déboutonner le chemisier. Christine ne bougeait pas et ne disait rien alors que son patron défaisait méthodiquement les cinq boutons. Ensuite il retira le vêtement qui rejoignit la veste sur le bureau.

L’index de sa main droite courra le long de son cou vers son décolleté. Ils ne se parlèrent pas alors que le doigt passa sous le tissu du soutien-gorge afin de trouver le mamelon gauche. Il le pinça entre le pouce et l’index. Il fit la même chose avec le sein droit.

– Défaites votre soutien-gorge. Dit-il.

Puis il attendit. Christine leva ses mains derrière son dos et dégrafa le fermoir. Le soutien-gorge glissa le long de ses seins, s’arrêtant juste au-dessus des mamelons si bien que la moitié de ses auréoles sombres était maintenant visible.

Francis utilisa une fois encore son index afin de finir de faire tomber le sous-vêtement sur le sol.

– Vous avez une superbe poitrine Christine.

Il agrippa à pleine main le sein droit, puis tira le mamelon et le fit rouler entre ses doigts.

– Ahhh, Ahhhh

Christine ne pouvait s’empêcher de gémir. Francis sourit et tira un peu plus fort sur le mamelon, sachant qu’elle aimait. Son sourire me fit comprendre qu’il appréciait de jouer avec ma belle-mère.

– Maintenant, enlevez votre jupe et votre culotte.

Il se rassit sur la chaise en face d’elle.

Il aurait été futile de protester alors elle dézippa sa jupe et la descendit sur ses pieds. Elle se tenait devant son patron en talons avec une culotte en dentelle rouge. Elle hésita encore pendant un moment et son chef dut lui répéter d’enlever sa culotte. Christine mit ses mains sur l’élastique et baissa sa culotte pour se tenir enfin complétement nue devant son patron.

– Tournez-vous!

Après qu’il ait donné l’ordre, il la regarda obéir et il défit sa braguette afin de sortir son sexe de son caleçon. Non seulement, il était riche et propriétaire d’une grande compagnie mais il avait aussi une grosse bite.

– Penchez-vous de telle sorte que votre tête et vos seins soient sur le bureau.

Il enleva ses chaussures, son pantalon et son caleçon puis il se leva et déboutonna sa chemise.

J’avais une meilleure vue sur sa queue. Je devinai qu’elle mesurait environ 15 cm. Elle était encore en expansion et pointait vers le haut. Elle était très épaisse et impressionnante.

– Ouvrez votre chatte Christine.

Il avança de trois pas pour se tenir juste derrière elle. Il baissa les yeux alors que chaque main de la femme attrapait une fesse afin d’ouvrir le passage pour la bite en érection de son patron.

Vulnérable et exposée, elle n’eut pas à attendre plus de dix secondes avant de Avcılar Escort connaitre les intentions de l’homme. Il poussa son gland gonflé à l’intérieur du vagin et ne s’arrêta pas avant que son membre soit entièrement dans ma belle-mère.

Le cri de Christine emplit la pièce et ne stoppa pas même lorsque qu’elle fut complétement distendue et remplie par la verge de Francis.

– Oh mon dieu! Oh mon dieu! Oh mon dieu! fut tout ce qu’elle put dire alors qu’elle était harponnée et épinglée sur son bureau par son supérieur qui avait les mains sur son dos.

– Maintenant, quand je vais enlever mes mains, vous allez bouger d’avant en arrière sur mon sexe. Je veux que vous fassiez tout le travail afin de me prouver que vous méritez votre emploi. Vous me comprenez Christine?

– Oui Monsieur MULLER. Dit-elle

L’homme leva les mains et les mit derrière son dos. Puis il se positionna de façon à rester stable. En s’aidant de ses mains sur le bureau, Christine avança, laissant juste le gland à l’intérieur de son sexe puis elle recula jusqu’à ce que les couilles giflent ses cuisses.

Je la regardai alors qu’elle répéta lentement le mouvement pendant trois à quatre minutes, s’habituant à l’énorme bite. Mais Francis ne fut pas satisfait :

– C’est un bon début Christine mais je pense que vous pouvez faire mieux. Faites plus d’efforts.

Instantanément, elle avança et recula plus brutalement. Le claquement de leur peau était maintenant audible ainsi que la lourde respiration et les petits gémissements de ma belle-mère.

– C’est mieux. Dit-il en se raidissant pour contrer la force de la femme qui allait presque le renverser.

Après cinq minutes, je pus voir sur mon écran que Christine transpirait beaucoup et que sa respiration devenait courte et rapide. Elle n’était pas loin de jouir et Francis s’en aperçut.

– Vous allez jouir n’est-ce pas? demanda-t-il.

– Ou…..iii. Dit-elle alors que ses fesses claquèrent contre le ventre de l’homme.

– Accélérez la cadence et ne vous arrêtez pas même si vous avez un orgasme.

– OUUUUIIIIIIII MONS….IEUR MUUUU…LLER! ARGGHHHH

Elle cria alors qu’elle matraquait ses fesses contre l’homme, cherchant le plaisir d’un orgasme.

– ARGGGGHHHH OH JE…. VIENS! ARGHHHHH

Elle jouit, ses genoux la lâchant presque. Mais elle reprit rapidement le contrôle d’elle-même tout en frémissant d’extase.

Une fois qu’elle eut fini de trembler, son patron se retira et lui demanda de se retourner.

– Voyons si vous sucez aussi bien que vous baisez Christine.

Il attrapa une poignée de ses cheveux et tira sa tête vers son énorme verge enduite du jus de la femme.

– Ouvrez grand!

Il poussa son gland entre ses lèvres, le faisant pénétrer profondément. Une fois que Christine eut pris le rythme pour le sucer, il remit les mains dans son dos et poussa son bassin contre le visage de la femme essayant d’emplir au maximum la bouche.

– Vous sucez très bien Christine. Si vous m’aviez sucé comme cela lors de l’entretien d’embauche, vous auriez obtenu le poste immédiatement.

Le patron profita de la sensation agréable de cette bouche sur son sexe. Mais après quelques minutes, il repoussa son employée puis il s’allongea sur le sol, sa bite dressée comme un piquet de tente. Je me doutais de la suite.

– Maintenant, chevauchez ma bite Christine jusqu’à ce que vous jouissiez de nouveau.

Sans hésitation, ma belle-mère l’enjamba et abaissa sa chatte mouillée sur le membre jusqu’à ce qu’elle fut complétement remplie. Puis elle rebondit sur la verge comme si elle montait un cheval. Si bien qu’en moins de dix minutes elle eut un autre orgasme. Mais Francis n’était toujours pas satisfait.

– Allez Christine, prouvez moi que vous méritez ce travail. Continuez!

Elle continua à chevaucher son patron essayant de faire jouir l’homme. Au bout de quinze minutes, elle jouit de nouveau. Le membre de son patron restait raide alors qu’il était noyé par le jus de la femme. Ma belle-mère n’en pouvait plus. Sa tête retombait en arrière, ses yeux étaient à moitié fermés mais elle continuait à rebondir sur son patron.

Il fallut encore quatre à cinq minutes avant que Francis lui dise de venir sur ses genoux pour le sucer car il allait éjaculer. Elle lui obéit et je vis ses joues enfler. Son chef emplit sa bouche de sa semence et elle avala consciencieusement avant qu’il sorte sa bite et gicle le reste sur son visage.

En s’habillant et en regardant son employée recouverte de sperme il dit :

– Quelle baise d’enfer Christine. Nous nous verrons demain afin de décider ce que vous allez devenir. D’accord?

Il se dirigea vers la porte.

– Oui Monsieur MULLER. Répondit-elle en le regardant partir.

à suivre….

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Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

Amis lecteurs, ces récits sont là pour votre plaisir alors n’oubliez pas que commentaires ou votes sont les bienvenus. Merci.

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La Bourgeoise et le Plombier

Blonde

J’avais été appelé pour une fuite d’eau chez des particuliers et j’eu le souffle coupé quand j’arrivais devant la superbe villa. Les propriétaires avait les moyens visiblement. L’homme qui m’ouvrit la porte avait la soixantaine bien tassé. Il était petit, bedonnant, les cheveux blancs impeccablement coiffés. Il respirait le luxe. Il me désigna la salle de bains à l’étage sans m’accompagner.

— Ma femme est en haut, elle se prépare, nous avons un diner ce soir, si vous pouviez vous dépêcher du reste.

Je lui assurais que j’allais faire le maximum.

Je grimpais les escaliers et cherchais la salle de bains. J’aperçu une porte entr’ouverte et m’avançais. Je vis une silhouette et je compris qu’il devait s’agir de l’épouse. J’allais signaler ma présence quand je réalisais qu’elle était à moitié nu..Elle déambulait dans sa chambre uniquement vêtu d’un soutien-gorge qui contenait avec peine une volumineuse poitrine. Elle devait avoir dans les 55/60 ans mais avait encore une belle silhouette. Son string moulait ses fesses de façon indécente. J’eu aussitôt une trique d’enfer et ne pus m’empêcher de continuer à jouer les voyeurs. La bourgeoise avait un air très distinguée, très XVIème. Elle était blonde, les lèvres mince, les yeux clairs. Elle fixa autour de sa taille une ceinture porte-jarretelles.Elle s’assit sur son lit et commença à enfiler avec grâce une paire de bas qu’elle fixa au porte-jarretelles ; Je ne salive pas mais presque. J’ai la bouche sèche. Je pose ma main sur mon sexe dur comme l’acier coincé dans mon pantalon. La femme se relève et s’observe un instant dans la glace puis elle enfile une paire de hauts talons. Elle disparut soudain de ma vue et je fus déçu. Je continuais à chercher la salle de bains que je trouvais finalement au bout du couloir. Je posais ma sacoche a terre et commençait à sortir mes outils. Encore perturbé par ce que je venais de voir.

A genoux sous le lavabo, je reparais la fuite quand une exclamation me fit me retourner. C’était l’épouse qui me regardait un peu surprise.

Escort Beylikdüzü Mais…Qui êtes vous ?

Etant donné que j’étais à genoux sous le lavabo, je trouvais la question un peu bête mais enfin.Je lui sortis mon sourire le plus charmeur et lui dis que j’étais le plombier et que je n’avais pas osé la déranger.

— Oh.Vous auriez pu…Me lança t’elle.

Si j’avais su.

Elle était superbe. Elle avait des jambes encore fines malgré son âge. Gainées de bas noirs, elles émergeaient d’une jupe droite en satin. Elle n’était pas très grande malgré la hauteur de ses talons aiguilles.

Elle me demanda si elle pouvait se maquiller et je lui assurais que oui. Je retournais sous mon lavabo pendant qu’elle se positionnait juste a coté de moi.Un vrai supplice de Tantale. Du coin de l’oeil, j’apercevais ses jambes.En me penchant, je pouvais même voire sous sa jupe. Allonger à terre pour être plus à l’aise, je la mate sans vergogne. Elle fit tomber son rouge à lèvres et s’accroupit juste sous mon nez pour le ramasser.me donnant l’occasion, (involontaire ou pas ?) de mater sous sa jupe. J’aperçus la peau blanche au dessus des bas et de nouveau j’eu une érection. Mon sexe est tendue à me faire mal.Elle se relève et se pencha pour attraper je ne sais quoi m’enjambant, ce qui me donna de nouveau l’occasion de mater sous sa jupe.N’en pouvant plus, Je me relevais soudain la dévisageant. Elle me regarda une lueur interrogative dans les yeux.

— Qui a-t-il ?

Sans rien dire, je lui plaquais mes mains sur ses fesses et la collait à moi.

— Mais enfin ! Jeune homme ! protesta-t-elle…

Je lui malaxais son cul à travers sa jupe que je relevais dévoilant le porte-jarretelles. Je la retournais la courbant sur le lavabo. Elle poussa un petit cri mais ne hurla pas pour prévenir son mari qui est en bas. Ce qui m’encouragea à continuer. J’écartais la fragile étoffe du string et lui léchais la vulve avec ma langue.Elle poussa un gémissement. Soufflant comme un boeuf, je sortis mon sexe épais et m’enfonçais directement Beylikdüzü Escort Bayan dans son ventre.Elle sursauta et balbutia :

— Non… Non… Mon mari va…

Elle poussa un petit cri. Les mains crispées sur ses hanches, je la pilonne avec vigueur…Mon ventre va claquer contre ses fesses. Les yeux hagard, elle me regarde à travers la glace. Je fais des allers-retours dans son con, la besognant comme un fou.Elle halète la bouche ouverte. Ses mains sont crispées sur le lavabo. Elle se mord les lèvres. Je sortais mon sexe luisant et obligeant cette si distinguée bourgeoise à s’agenouiller à mes pieds, je lui présentais ma bite devant sa bouche.Elle se recula, secouant la tête.

— Non…

Je lui agrippais les cheveux et m’enfonçait dans sa bouche.Elle eut un hoquet et commença à me sucer la queue. Sa tête faisant des va et vient. Je regarde, triomphant, ma bite coulisser entre ses lèvres. J’appuie plus fermement sur sa tête pour bien m’enfoncer dans cette bouche si accueillante et elle poussa un gémissement. Elle recula cherchant à reprendre sa respiration et je lui agrippais de nouveau les cheveux la forçant à me reprendre dans sa bouche.

— Chérie, mais qu’est ce que tu fabriques.On va finir par être en retard.

Le mari s’impatiente.Elle voulut se relever, affolée, une lueur de panique dans le regard.

Pervers, je lui pris le bras et l’entrainais malgré ses protestations chuchotées dans le couloir. Je la courbais sur la rambarde de l’escalier qui menait au salon.on entend la télévision, les infos ont commencé et d’où je suis, j’aperçois les pieds du mari cocu sans doute assis dans le canapé. Elle tente de se dégager et je lui donne un petite claque sur les fesses. Je m’enfonce de toute ma longueur en elle. Les mains posées sur la rambarde, elle répond à mes coups de reins en ondulant. Elle pousse des gémissements. Je suis complètement excité par cette situation. De savoir que le mari peut nous surprendre à tout moments.Je la bourre frénétiquement, la défonçant.

— Petite Beylikdüzü Escort salope, tu n’attendais que ca…lui lançais-je voulant l’insulter.

Elle se retourna, haletante.

— Oui.Oui.Je vous ai vu quand vous m’observiez.

J’accélérais mes coups de reins, faisant tressauter ses fesses.Elle ouvrit la bouche sur un cri muet…

— Vas-y.Baise moi salaud ! Défonce-moi.

— Qu’est ce que tu dis ma chérie ?

La pistonnant toujours, je lui ordonne de répondre à son époux.

Elle bafouilla, légèrement essoufflée :

— Je suis bientôt prête mon amour.J’arrive.

De nouveau, je l’entrainais ailleurs.Dans sa chambre. Je l’allongeais sur le lit et lui relevais les jambes à la verticale, je la pénétrais de nouveau. Ma queue s’enfonce dans son ventre. Elle secoue la tête de droite à gauche, gémissant. Un orgasme la fit crier et elle mordit sa main pour étouffer ses cris. Je n’en avais pas encore fini avec elle.J’avais envie d’humilier cette superbe bourgeoise salope. Je la positionnais à quatre pattes sur la moquette de sa chambre.Je dégageais ses seins de son soutien-gorge, les malaxant au passage. et pointais mon sexe contre l’ouverture de ses reins. Elle se retourna le regard affolée :

— Non…Non…me supplia t’elle, je ne l’ai jamais fait.

Cet aveu m’excita encore plus. Je m’introduisis dans son anus et elle poussa un cri que j’étouffais en la bâillonnant avec ma main. Je commençais à m’agiter dans ses reins tout doucement pour lui permettre de s’habituer puis de plus en plus rapidement. Ses seins ballottent dans tout les sens, j’accélère la cadence. Mon sexe s’enfonce dans le cul de cette bourgeoise, à quatre pattes par terre, prise comme une chienne. A quelques mètres de son mari.Elle gémit sans discontinuer.N’arrivant plus à me retenir, je dégage mon sexe et éjacule sur le dos de la blonde qui s’affale à terre, respirant lourdement. Elle se releva voulant se diriger vers la salle de bains pour se nettoyer mais je lui interdis de le faire.

— Non ! Tu vas aller comme ca à ta soirée, avec mon foutre sur ton cul. Tu sentiras le sperme.

Elle rougit violemment mais ne dis rien.

— Je reviendrai demain…Invente un truc pour ton mari et tache de l’éloigner.J’emmènerais des potes.Avec une salope comme toi, y faut des renforts…

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Dorothée asservie – Partie 02

Contractions

Lorsque, le vendredi matin, Kévin, selon un rituel qui va devenir probablement immuable, pénètre dans le bureau de son patron, dix minutes après Dorothée, il a le plaisir de voir celle-ci nue, lui tournant le dos. Il ne prive pas pour admirer la jolie paire de fesses qui lui fait face.

Sa collègue est en pleine conversation avec Antoine : – Mais je ne peux pas porter ça au magasin!, tandis que son patron lui tend une robe ayant appartenu à son ex-épouse.

– Mais si tu peux! Et tu vas le faire! Ma femme était juste plus petite que toi et avec de moins gros seins. Cela t’ira à ravir, crois — moi! Maintenant, ne discute pas et habille-toi!

La tenue, ou plutôt si c’est un vêtement, une fois essayée, est trop courte et dévoile le bas de ses globes fessiers. La vendeuse éprouve également toutes les peines du monde à fermer celle-ci sur le devant. Quand elle y arrive enfin péniblement, son patron s’approche d’elle et déboutonne les trois premiers boutons, ce qui ouvre la robe jusqu’au-dessous de ses seins. Ce modèle est presque obscène.

– Voilà! C’est parfait! Tu es magnifique! N’est-ce pas Kévin?

– Sûr, patron! Les clients vont adorer! Je pense que nos ventes augmenteront rapidement!

– Je n’en doute pas!

Puis s’adressant à la fille : – Maintenant, appuie-toi contre le bureau et écarte les jambes pendant que je me positionne à l’arrière. Il est temps de découvrir si ta chatte est bonne! Et puis, Kévin et moi, on peut et on veut tout voir, maintenant que tu es intégralement épilée. Sur ce, forçant l’entrée non humidifiée de la pauvre employée, il commence à la pistonner brutalement, agrippant les cheveux mi-longs de la malheureuse afin de lui tirer la tête en arrière. Puis, sans se préoccuper des cris de douleur de Dorothée et se tournant vers son ouvrier : – Regarde, mon ami, comment on baise une salope! On la chevauche a cru! A peine ces mots prononcés que, dans un grand râle, il éjacule abondamment à l’intérieur de celle-ci.

– J’espère que tu prends la pilule, sinon ton fiancé sera bientôt le père d’un joli bâtard! s’esclaffe-t-il. En tout cas, ton con est bien étroit! Un vrai régal! Plus qu’à te l’élargir…

Se remettant péniblement debout, la jeune femme se réajuste comme elle peut. Antoine lui donne une dernière injonction : – ce soir, avant de partir, tu prendras ces deux grandes caisses et tu les ramèneras à la maison. Il y a là trente tenues qui appartenaient à mon ex. Je les ai numérotées afin que tu les portes, dans l’ordre indiqué, durant les quatre prochaines semaines. Au fait, dernière question : – Est-ce que Frédéric t’a déjà enculé? Ou bien ton petit trou est-il toujours vierge?

Totalement désarçonnée par cette question, la pauvre bégaie, entre deux sanglots : – O…Oui…

– Oui quoi? Oui, il t’a déjà prise par l’arrière ou oui, ton anus n’a pas encore été décapsulé?

– Je… suis… vierge…

Goguenard, son boss, lui annonce alors gaiement ce qui l’attend juste après le week-end : – Parfait! J’aurai donc la joie d’être le premier à prendre ta cerise! N’oublie pas d’amener de la vaseline car sinon tu risques d’avoir un peu mal! A lundi, même heure!

La journée est un véritable calvaire et les heures s’écoulent avec une terrible lenteur. Des questions assaillent l’employée : comment fuir cet endroit maudit et ce monstrueux patron? Comment prouver sa bonne foi alors que les prétendues preuves –construites machiavéliquement- sont clairement toutes contre elle.

Elle a beau réfléchir, elle ne trouve aucune issue. En parler à son compagnon? Il risque, sous le coup de la colère, qu’il a parfois du mal à contrôler, de commettre l’irréparable à l’encontre de son tortionnaire. Malgré ces longues réflexions, elle ne voit pour le moment aucune autre issue que celle de se soumettre aux perversités infâmes d’Antoine. Le tout, et c’est le pire, devant les yeux narquois de Escort Beylikdüzü son collègue, spectateur amusé de sa lente déchéance. En fin de journée, elle emporte les deux caisses avec une seule obsession : où les cacher dans la demeure?

Elle opte finalement pour le grenier, un endroit où Frédéric se rend peu et qui est encombré de nombreuses vielles choses et autres objets inutiles. Dans un recoin, sous une pile de cartons, elle dissimule du mieux qu’elle peut ses nouvelles « tenues de travail », non sans s’être préalablement changée avant le retour de son fiancé.

Le soir venu, prise de remords bien qu’étant pourtant la victime, elle lui fait l’amour de manière passion, presque maladive. Ce qui ne manque pas de surprendre son conjoint, qui ne peut toutefois que se réjouir de cette ardeur sexuelle inhabituelle.

Le lundi arrive trop vite. La peur au ventre, après avoir attendu le départ très matinal de son fiancé, elle s’habille rapidement –tout en emportant avec elle un sac contenant des vêtements « normaux » pour le retour à la maison- et manque de s’étrangler en regardant son reflet dans le miroir. En effet, la robe qu’elle est obligée de porter ce jour présente deux graves inconvénients. D’abord, l’ourlet arrive presque à son entrejambe. Il suffit qu’elle se penche un peu pour que ses lèvres vaginales soient exposées à la vue de tout un chacun. Ensuite, le haut, fait de pure dentelle, n’a pas été conçu pour masquer les seins. D’autant que la taille étant beaucoup trop étroite, Dorothée découvre avec horreur que ses mamelons sont clairement visibles.

Mais la pire des humiliations est quand elle emporte avec elle un tube de lubrifiant, pressentant le supplice qu’il l’attend. Et effectivement, lorsque Kévin pénètre quelques minutes après elle dans le bureau du boss, ce dernier lui adresse un large sourire, en regardant l’employée positionnée sur la table de travail, ses mains et ses coudes appuyés sur cette dernière, tandis que sa robe est relevée à l’arrière :

– Viens sur le côté, mon ami, tu verras mieux. Regarde ce magnifique fessier que nous avons là, rond et ferme. Puis s’adressant à sa vendeuse : – Alors comme ça, ma chérie, tu n’as jamais eu, en aucune situation, de bite dans le cul? Jamais, ô grand jamais?

Et la fille de répondre en pleurnichant : – Non… Monsieur… Florent…

– Tu souviens de ce que je t’ai dit?

– Oui, Monsieur. Et la fille de réciter mécaniquement la phrase imposée par son patron pervers : – Vous pouvez me prendre… par là… si vous voulez… Monsieur…

– Tu peux faire mieux, voyons!

– Enculez-moi, s’il vous plaît…

– Plus vulgaire que cela!

– Enfilez-moi… votre grosse pine… dans mon anus! Bourrez-moi… comme la salope que je suis! Je veux… sentir votre queue! Bien au fond! Dépêchez-vous… j’ai envie… d’être votre chienne…

Des larmes coulent abondamment sur ses joues. Elle se sent souillée d’avoir à proférer de telles insanités dont elle ne pense pas un mot. S’enduisant le sexe de vaseline, avant d’en faire de même avec l’anus de sa future victime, Antoine n’en a cure : – Tu verras, ma belle, tu me remercieras. Si ton homme n’en est pas un et qu’il ne sait pas t’offrir de plaisir anal, il faut bien que le fasse à sa place. Quand tu l’auras fait une demi-douzaine de fois, tu t’y habitueras et tu n’auras même plus mal. Crois-moi!

Et qui sait, tu finiras peut-être même à éprouver une grande jouissance. Quant à toi, Kévin, je peux t’affirmer à l’instant même que je vais défoncer le plus beau cul que je n’ai jamais vu de ma vie.

Dans la foulée, ses mains se posent sur les fesses de Dorothée pour mieux les écarter et positionner son membre imposant contre son œillet. Le boss s’arque-boute et sans se préoccuper le moins du monde de sa « partenaire », commence à s’enfoncer dans le fondement de son employée, avançant inexorablement, Beylikdüzü Escort Bayan centimètre par centimètre, indifférent aux cris poussés par cette dernière. Restée un instant muette, la bouche bée, les yeux exorbités, elle est martyrisée, malgré le lubrifiant dont elle s’est enduit, par cette énorme queue, dure comme du béton. A chaque poussée, elle hurle de douleur. Jamais elle n’aurait imaginé pareille sensation de brulure. Plus pour reprendre son souffle que par compassion pour la femme qu’il est en train de sodomiser, Antoine marque un temps d’arrêt. Avant de reprendre de plus belle. La fille est littéralement éperonnée, à coups d’estoc, le membre viril poursuivant son va-et-vient brutal avant, quelques minutes plus tard, d’envoyer un flot de sperme dans le rectum ainsi profané.

La jeune femme, après avoir émis un long râle rauque, laisse ton tomber sa tête sur la table. Comme paralysée, elle n’émet plus ni le moindre son ni ne fait le moindre mouvement, affalée sur le bureau, le corps en sueur, les cheveux mouillés et le regard vide. Elle est brisée, liquéfiée, son oeillet encore béant suite aux assauts subis.

– Plutôt sympa cette première expérience! commente son patron. Tu as un trou de balle merveilleusement étroit. C’est un plaisir sans fin que d’y coulisser! J’espère que tu as apprécié autant que cela m’a plu! Allez, file au comptoir, maintenant. Mais avant, nettoie-moi avec ta langue. Je veux que mon sexe reste bien propre.

Elle s’exécute machinalement, supportant péniblement le mélange de sperme et de vaseline resté sur la pine qui vient sauvagement de profaner sa petite porte.

Avant qu’elle ne sorte de l’office, son boss lui adresse une recommandation lourde de sens : – Au fait, j’oubliais! J’aime beaucoup Kévin. Il travaille pour moi depuis son adolescence, lorsqu’il est venu, il y a cinq ans, en apprentissage. Il est vis-à-vis de moi d’une loyauté absolue. Et je trouve que cela mérite une récompense.

Dorothée se liquéfie, ne doutant pas un instant qu’elle va devoir être « gentille » avec son collègue. Mais c’est encore pire que ce qu’elle pensait. Car Antoine lui annonce sèchement qu’à partir du lendemain, elle devra être présente au travail une demi-heure avant le début de son horaire et rester une demi-heure après la fin de celui-ci.

– Convaincu par tes compétences, j’ai décidé, ma chère, d’augmenter tes responsabilités. A partir de maintenant, ta première tâche du matin consistera à te rendre à l’atelier, où tu satisferas les besoins primaires de Kévin. Ensuite, tu viendras me faire la même chose dans mon bureau. Pareil le soir avant de partir, tu iras à l’atelier soulager Kévin de toute tension et puis tu t’occuperas de moi. Bref, tu es devenue la préposée au vidage des couilles des travailleurs mâles œuvrant au sein de cette société. Fort heureusement pour toi, nous ne sommes que deux!

Se tournant vers son manutentionnaire, il ajoute : – Tu peux utiliser sa bouche et sa chatte comme bon te semble et lui donner tous les ordres que tu veux. Mais pour le moment, tu ne touches pas à son cul. Je me le réserve pour moi durant quelque temps.

Avant d’adresser à l’attention de ses deux employés : – Pour fêter ces bonnes résolutions, nous irons au fast-food ce midi. Il y en a un à une dizaine de kilomètres d’ici. Rendez-vous à l’entrée de l’atelier à douze heures précises. Kévin, tu nous serviras de chauffeur : je m’installerai avec Doro à l’arrière, ce sera plus confortable!

Et chacun de retourner à ses occupations professionnelles, la mine joyeuse pour le patron, le cœur léger pour l’ouvrier, le visage défait et désespéré pour la vendeuse…

Midi arrive, déjà, et les trois personnes se retrouvent bientôt dans la voiture conduite par Kévin. Un quart d’heure plus tard, le pilote s’arrête sur le parking d’un McDo doté d’un drive-in. Il y a encore peu de monde Beylikdüzü Escort sur celui-ci, hormis quatre adolescents.

Antoine s’adresse directement à son employée : – Tu vas nous chercher un menu et tu reviens. Je vais ouvrir ma fenêtre, tu t’appuieras ainsi contre le rebord de la portière quand tu reviendras et tu attendras gentiment que Kévin et moi fassions notre commande.

En une fraction de seconde, la femme a compris le manège de son boss : dès qu’elle se penchera contre celle-ci, elle offrira aux jeunes présents –qui doivent avoir environ seize ans- le spectacle de ses fesses nues. Mais le show commence avant, de manière imprévue, une légère bourrasque de vent soulevant la robe alors que l’employée s’en va quérir les cartes. Les regards des garçons, un instant ébahis, deviennent soudain plus qu’insistants. De retour à la voiture, elle s’appuie, comme exigé, contre la portière et expose ainsi au moins la moitié de son cul aux ados.

– Je prendrai cheeseburger et un coca. Et la même chose pour Kévin, dit son patron sur un ton ironique.

Dorothée, elle, angoissée comme jamais, ne peut manger la moindre nourriture. — Tant pis pour toi! dit simplement son boss, avec un haussement d’épaules. Avant d’ajouter froidement : – Lorsque tu reviendras avec notre commande, tu t’arrêteras deux minutes près des jeunes gars et tu leur demanderas s’ils ont apprécié le spectacle. Tu leur diras comment tu t’appelles et où tu travailles. Et tu soulèveras ta robe devant eux pour savoir s’ils aiment ta chatte récemment épilée.

Tu as bien compris?

– Je vous en supplie, Monsieur, pas ça! implore-t-elle. Je ferai tout ce que vous voulez, mais pas ça. S’il vous plaît…

– Fais ce que je te dis et tout de suite. Je t’interdis de discuter le moindre de mes ordres. Vas à présent!

Revenant vers l’automobile avec la commande dans une main, elle marque un temps d’arrêt près des garçons et, rouge comme une pivoine, engage la conversation avec ceux-ci en se présentant et en leur dévoilant ensuite ses charmes intimes avant de leur dire au revoir. Remettant la nourriture à Antoine, elle s’engouffre dans la voiture.

Alors que la vitre électrique est toujours ouverte et que les adolescents se sont rapprochés, le boss donne une nouvelle injonction à sa vendeuse : – J’aime bien me faire sucer la bite pendant que je mange mon repas. Exécution! Mais avant, merci d’abaisser le dessus de ta robe! J’adore quand une salope à les seins à l’air pendant qu’elle me taille une pipe.

Sous le regard médusé des jeunes et invitée à se mettre à quatre pattes sur la banquette arrière, Dorothée s’exécute, ouvre la braguette de son chef et commence à faire coulisser la pine entre ses lèvres, sa tête montant et descendant tandis qu’elle s’active sur le chibre. Son patron soupire de plaisir, tandis qu’il déguste son repas et, volontairement, relève la robe de sa subalterne. Suivant le sens dont ils font le tour de la voiture, les garçons peuvent donc voir tantôt son cul et sa chatte, tantôt sa bouche s’activer sur la bite d’Antoine.

Comme si de rien n’était, ce dernier entame la conversation avec les quatre voyeurs : – Elle est belle, hein? Et c’est aussi une sacrée bonne suceuse. Avec un peu de pratique, elle deviendra d’ailleurs quasiment imbattable! Et tandis qu’il expulse une forte charge de sperme au fond de la gorge de son assistante, il poursuit, imperturbable, à l’adresse des ados : – Vous connaissez son prénom et où elle travaille. Je suis son boss. Si vous voulez mieux la connaître, il suffira de me téléphoner et j’organiserai peut-être, qui sait, un rendez-vous! Voici ma carte…

La conversation se termine ainsi et la voiture prend la direction du magasin, non sans que l’employée ait été obligée d’enlever ce qui restait de sa robe afin d’être assise, totalement nue, dans le véhicule. Une fois arrivée, elle est contrainte de courir pour pénétrer dans le bâtiment via la porte arrière, ses seins ballotant et ses fesses roulant sous le regard hilare des deux hommes. Essoufflée, elle n’a que le temps de remettre son vêtement, que lui a tendu Antoine, pour accueillir le premier client.

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Humiliations Bar 03

Bigwhiteuncutcock

Je reprends donc mon histoire au sex-shop. Je viens de vider les couilles du vendeur à la demande de Marc.

Je trouve que celui-ci devient de plus en plus vicieux, Daniel est plus effacé, je l’entends rarement, mais il vaut bien son collègue quand il le faut. Je m’égare, vous allez me demander pourquoi vicieux? Ce cochon profite de toutes les occasions pour me foutre la honte et m’exhiber devant des personnes ou dans des lieux où je suis connue.

Bien sûr, vous allez me demander pourquoi je l’écoute. Il a certains moyens de pression sur moi, mais en fin de compte c’est psychologique. Le fait de me mettre dans certaines situations par obligation m’enlève tout sentiment de honte et de morale, il ne reste que la jouissance que m’apporte l’humiliation d’être vue, reconnue, et utilisée. Je ne sais pas jusqu’où ça ira et je m’en fous.

Pendant que j’essuie toutes les traces de son jus, ce coquin de vendeur finit d’emballer tous les achats. Je rentre, chargée de deux poches au logo du sex-shop. En chemin je reçois un appel de Marc :

– Salut ma belle, comment ça s’est passé?

Je lui raconte donc les anecdotes. Il me demande comment je suis habillée. Je lui explique que je suis toujours avec ma robe.

– A partir de demain tu sais quoi faire!

– Oui c’est bon!

– Tu réponds très mal!

– Oups désolé Monsieur!

Je te contacte ce soir vers 21h00.

Il me reste pratiquement trois heures, je vais en profiter pour m’occuper de moi. Je rentre dans le spa, humm que c’est bon l’eau chaude! Je me sens revivre, je m’endors très rapidement, je suis tellement bien.

Je me réveille et je regarde l’heure. Ça fait pratiquement 45 minutes que je suis dans l’eau, j’en ai la peau toute marquée. Il est temps de grignoter quelques bricoles avant de me préparer

A 20h50, je reçois un message :

– Tu es chez toi?

– Oui Monsieur!

– Ce soir je vais te faire découvrir certaines choses, tu es habillée comment?

– Je ne suis pas encore habillée.

– Tu mets la robe avec les pressions.

– La noire! d’accord!

– Tu descends ta rue à pied et tu m’appelles quand tu arrives au niveau du petit parking.

Je me demande ce qu’il a encore inventé. Le parking en question est tout petit, avec dans un coin un ancien wc public. il se situe à la jonction de ma rue et du boulevard à une centaine de mètres de ma maison. C’est très fréquenté pendant la journée, le soir beaucoup moins, mais avec la proximité d’un bar il y a quand même du passage.

C’est bon je suis arrivée, la nuit commence à tomber. J’appelle Marc qui me répond presque immédiatement. Au son de sa voix, je le sens tout excité. Il me dit :

– Regarde la terrasse du bar!

Je vois qu’il me regarde, qu’est-ce qu’il fait là? Il ajoute :

– Tu restes là un moment.

Je suis comme une conne, j’attends, il fait nuit maintenant. Heureusement, un lampadaire dans un angle éclaire l’endroit. Il y a une bonne trentaine de minutes que j’attends et ça commence à bien faire. Je vois les phares des voitures m’éclairer brièvement lors de leurs passages. Je reçois un appel, c’est Marc.

– Tu sais que tu es très jolie. Tu t’ennuies?

– Oui, j’en ai marre d’attendre bêtement, je serais mieux chez moi.

– Tu vas faire quelque chose pour moi, tu veux bien?

– Oui Monsieur!

– Ouvre ta robe que je te vois!

Le cochon! Je m’en doutais qu’il allait s’amuser à mes dépends. Il me connait bien, il sait que mon corps commence à réagir.

– Alors salope, tu mouilles?

– Oui.

– Tiens ta robe ouverte que l’on te voit.

Les voitures Escort Beylikdüzü ralentissent soudainement .

– Si une voiture s’arrête, tu te montres et tu te fais palper. S’ils veulent plus, tu les fais garer à côté des pissotières.

– Je fais la pute alors?

– Oui, mais toi tu vas le faire gratis! Quand on te demande combien tu prends, tu réponds : « Je suis une salope gratuite, servez-vous ».

Quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête. La personne est assez âgée. j’écarte mon vêtement, il me félicite et me demande combien pour une pipe. J’ai presque honte de dire que je suis une salope gratuite. Il se gare vite fait, descend de la voiture tout en me montrant son sexe. C’est à genoux dans l’entrée des wc que je le fais jouir.

Quelques clients plus tard, tout se passe très bien. Je prends mes marques et je me fais prendre fréquemment sur le siège arrière ou contre les voitures.

Je vois Marc arriver et je lui demande ce qu’il veut. Je le suce vite fait entre deux.

Au moment de partir il me demande les clés de la maison pour me faire une surprise, ainsi que ma robe en me disant que je n’en ai plus besoin.

– Tu restes encore un moment et tu rentres chez toi à poil comme une bonne petite pute que tu es! Je te laisse les clés là ou tu sais…

Quelques personnes plus tard, une voiture ralentit, je me penche et vois plusieurs de mes voisins qui me regardent avec de grands yeux étonnés, (je me demande qu’est-ce qu’ils font à cette heure-là dehors).

– Bonsoir Lyliane, heureusement que nous avions une réunion. On entend beaucoup de choses sur toi et je vois que finalement c’est vrai. Tu fais la pute dans ta rue, et toute nue en plus, c’est osé.

J’attends la prochaine question.

– Tu prends combien voisine?

Et voilà je l’attendais.

– Je suis une salope gratuite, vous pouvez vous servir.

– Non merci, pas ce soir. Tu n’es plus de première fraîcheur, par contre recule-toi toi un peu que l’on te prenne en photo pour montrer aux copains.

Je m’exécute. Au point ou j’en suis, je prends docilement les poses demandées. Avec ces deux-là tout le quartier va être au courant, j’imagine la suite.

– Nous allons nous revoir rapidement, salope, t’inquiète pas!

Je décide d’arrêter là les bêtises et rentrer chez moi. j’ai beau habiter au bout de la rue, je croise quand même plusieurs véhicules qui ralentissent pour mieux me regarder et m’humilier verbalement.

Je suis dans tous mes états. Je prends une bière, j’ai la gorge sèche de tout ce jus avalé précédemment. Je suis tellement sous tension. Je sens mes tétons tellement dur que je me pince cruellement. Le plaisir est immédiat, je ressens le besoin de me punir violemment. Je prends la bouteille et je l’introduis de toutes mes forces dans mon cul. Je suis tellement dilatée que je ne sens presque rien, c’est tellement frustrant. Je me caresse violemment, je pince mon clito jusqu’à hurler de plaisir. C’est totalement défaite que je tombe littéralement dans mon lit.

Je me réveille tard comme d’habitude. Je reprends mes esprits, je me sens mal à l’aise comme si j’avais fait une grosse bêtise. Tout me revient d’un coup : la soirée, les voisins, toutes ces personnes, les photos de moi, nue dans la rue.

L’excitation est retombée, il ne me reste que la vérité qui me saute aux yeux. Je fais vraiment n’importe quoi. Depuis que je suis seule je n’ai plus de limites!

Je me regarde dans la glace de la salle de bain. J’ai du mal à me reconnaître tellement je suis sale. Mon maquillage a coulé en laissant de longues traces noires sur mes joues, je Beylikdüzü Escort Bayan suis recouverte de plaques séchées, mes cheveux emmêlés sont collés par le sperme. Je me fais honte et pourtant je mouille de me voir ainsi. Je sens ma main descendre d’elle-même, mes doigts pénètrent mon sexe dégoulinant, je ne peux pas m’empêcher de regarder mon reflet dans la glace tout en me caressant. Les yeux dans les yeux de mon reflet, je jouis de contempler ma déchéance…

Puis le téléphone sonne, c’est Marc.

– Salut Lyliane, tu es déjà debout?

– Oui ça ne fait pas longtemps, je descends à la cuisine pour déjeuner.

– Tu es comment?

– Sale! Je vais prendre une bonne douche, ça ira mieux.

– Tu as trouvé ma surprise?

– Non : Tu l’as mise où? C’est quoi?

– Tu verras, t’inquiète! Quand tu seras prête, descends me voir à pied, ça te fera du bien de te promener.

– D’accord c’est gentil, bisous!

Ahhh c’est trop bon une bonne douche, c’est trop génial. Il ne reste plus qu’à finir de me maquiller, je m’habille et c’est bon.

Je sors de la salle de bain et je me rends dans la pièce qui me sert de dressing. Un papier est scotché sur la porte. Il y a marqué SURPRISE. C’est le cas de le dire, je ne m’attendais pas à ce style de cadeau. Pourtant il m’a acheté hier plusieurs robes. Je rentre dans le dressing et là… C’est le choc. Les étagères sont vides, il ne reste plus que mes chaussures à talon. Un papier est posé sur une étagère. Je l’attrape et je lis : « Ça ne sert à rien que tu essaies de m’appeler. Tes vêtements sont sous clé et ils le resteront. Tu feras uniquement avec ceux que je t’ai acheté hier. Il me tarde de te voir! »

Je comprends mieux maintenant sa supposée gentillesse style « Viens me voir à pied, ça te fera du bien ». Et en plus comme une conne je lui dis qu’il est gentil.

C’est bien joli de choisir des vêtements dans une boutique spécialisée. On se laisse entraîner, elles sont toutes belles, mais pour les porter au quotidien c’est autre chose!

Je commence les essayages (il va falloir que je rajoute des lumières dans ce dressing, ce n’est pas assez éclairé). Ces tenues ont toutes quelques choses de trop sexy. C’est soit le décolleté, la longueur de la jupe, ou le dos nu trop profond. Je vais essayer de choisir au mieux. De toute manière, elles sont toutes au raz du cul. Je vais donc choisir la moins dénudée. J’essaie une très jolie robe que j’adore déjà, dans les marrons, imprimée avec des motifs léopard, très légère avec un joli dos nue et de fines bretelles. Je me regarde dans la glace, elle est trop belle, je craque, le choix est fait.

Quelques minutes plus tard je suis dans la rue. C’est très agréable, il fait beau, je sens l’air à travers ma robe, j’ai l’impression d’être nue, je suis toute excitée. Il me tarde d’être sur la place pour retrouver le soleil, les rues sont trop à l’ombre à mon goût. J’aime le regard des hommes je me sens belle, c’est une bonne journée.

Enfin du soleil, je commence à traverser la place d’un pas décidé. Je vois Daniel en train de servir en terrasse. Pratiquement au même moment il se retourne, je le vois me regarder avec une drôle de tête, je suis contente de lui faire cet effet. Je fais allègrement les quelques mètres pour le rejoindre, je lui fais un « smac », il me dit :

– Tu es vraiment une salope toi!

Je hausse les épaules et entre dans le bar. Marc vient me retrouver. Tout en discutant il me ramène sur le pas de la porte où il m’installe pour prendre l’apéro debout devant une table haute. Je lui demande pourquoi, c’est jamais arrivé que Beylikdüzü Escort je prenne l’apéritif à l’entrée du bar.

– Quand on a une jolie salope on la montre, c’est bon pour le commerce!

– Ah merci! C’est juste pour le commerce, j’aurais préféré autre chose!

– Je te laisse seule un moment, tu vas voir, tu vas avoir du monde!

Effectivement plusieurs hommes s’approchent :

– Bonjour! On peut se joindre à vous?

– Oui avec plaisir!

– Non le plaisir est pour nous. Vous nous régalez, on peut vous offrir à boire?

– Merci c’est gentil à vous.

Marc vient nous servir et avant de repartir il leur dit :

– Amusez-vous bien les jeunes!

Quelques verres plus tard, l’alcool aidant, je me retrouve dans les bras d’un homme. Il m’embrasse. Je sens son désir contre mon ventre. Un de ses collègues se colle derrière moi, je le sens dur contre mes fesses. Je commence à ne plus pouvoir me retenir. David vient alors nous dire de passer derrière et d’arrêter de nous donner en spectacle devant la porte.

Une fois dans l’arrière salle, je vois qu’il y a eu des aménagements. Un rideau occulte l’entrée et un matelas en Skaï est posé au centre de la pièce. David me dit doucement avant de partir :

– C’est pour toi, amusez-vous bien!

A partir de ce moment, j’ai perdu le compte. Il y a un va-et-vient permanent de personnes dans la pièce. Certains regardent uniquement, d’autres viennent assouvir leurs envies. Je suce à me décrocher la mâchoire, mon sexe et mon cul ne désemplissent pas. Je suis complètement folle de plaisir, je hurle ma jouissance excitant d’autres personnes qui viennent se joindre aux déjà présents.

Vers le milieu de l’après-midi, Marc vient me chercher pour me ramener à la maison. Il me porte dans le canapé où je m’endors immédiatement.

Plusieurs heures plus tard je me réveille, mon téléphone vient de sonner. Je viens de recevoir des photos, je commence à les visualiser. Certaines sont prises dans l’entrée du bar et là j’hallucine. Avec le contre-jour, ma robe est totalement transparente. Je montre tout et personne ne m’a fait de remarque même en ville.

Je reçois un message de Marc : « tu es superbe, je n’aurais jamais cru que tu viendrais avec cette robe, tu es vraiment une putain dans l’âme. Pour le bar, suite a l’aménagement, nous nous sommes mis en conformité, l’arrière est libertin, tu peux venir gratuitement c’est légal »

Je ne vois pas les jours passer. Je me présente ponctuellement au bar à partir de 16h00 jusqu’à 19h00 environ. Depuis une dizaine de jours je me suis offerte à tous ceux qui ont voulu me rencontrer. Mais maintenant je fais une coupure, il n’y a plus grand monde. Je suis devenue la bête noire de ces dames. Je fais même attention de ne pas croiser certaines femmes en ville pour éviter les soucis. L’une d’elle a même marqué à la bombe sur le portail le mot « SALOPE ».

Je l’ai fait enlever et il est revenu dès le lendemain. Du coup je l’ai laissé, ça fait jaser, mais après tout si ça leur fait plaisir…

Nous sommes jeudi en début d’après-midi. Je suis allongée sur la terrasse et je somnole. Mon téléphone sonne, je ne réponds pas, je ne connais pas ce numéro. Mais comme ça insiste, je finis par répondre.

– Bonjour ce sont tes voisins! On peut venir te voir?

– Oui bien sûr, avec plaisir!

– Même immédiatement?

– Je vous attends…

Je n’ai pas le temps de bouger que la sonnerie du portail retentit. Je me rapproche de la palissade pour regarder, ce sont eux. Je me dépêche d’ouvrir

l’un d’eux s’exclame bien la déco de ton portail!

J’aime beaucoup voir leurs regard.

– Tu ouvres toujours à poil

– Oui quand je connais je ne m’embête pas c’est plus rapide, vous venez pour Vous amuser?

– Oui tu nous as trop excité l’autre soir

Alors si c’est comme ça je suis toute à vous!!